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Artistes en ligne

Artiste en ligne d’angel arts, galerie d’art à Paris Montparnasse.

Des tableaux d’art contemporain, de sculptures, de photographies et autres médiums.

Des tableaux d’art contemporain, de sculptures, de photographies et autres médiums.

Présenter des œuvres d’art dit contemporaines permet de dévoiler des hommes et des femmes qui occupent l’espace artistique dans une période qui va du milieu des années « 50 » à aujourd’hui. 

Nous sommes donc confrontés à des artistes en devenir ou réputés qui forment quelques-uns des 75.000 individus déclarés à la maison des artistes et que nous retrouverons sur et dans cette plate-forme. L’accession de tous à l’art contemporain nous fait découvrir Atlan, Alechinsky et le mouvement Cobra, Mondrian, Pollock des maîtres de l’abstraction.

Dans un autre domaine, aujourd’hui comment ne pas citer Ernest Pignon-Ernest, Gérard Zlotykamien, Jef Aérosol, Jacques Villeglé ou dans un autre genre Olivier de Sagazan , bansky,  qui représentent le street-art, l’art urbain,et les performances.

La Peinture contemporaine

Sachant que la peinture contemporaine a vu le jour au milieu du XXème siècle nous constatons clairement le fossé entre l’art moderne et l’art contemporain comme l’étaient les anciens et les modernes. Nous nous rendons compte que l’art moderne devient un art de collectionneur averti, le Graffiti devient art avec jean Michel Basquiat, comme Andy Warhol maître du Pop art a accompagné l’Art Urbain de Keith Haring.

La peinture contemporaine dénote un éveil nouveau et une grande curiosité, cette peinture favorise l’imagination et les formes nouvelles, propose une vision « libérale » et recrée une veine artistique nouvelle et expérimentale.

La sculpture contemporaine

Les expérimentations commencent dès 1920 avec Marcel Duchamp et se perpétue durant une trentaine d’années avec Giacometti, Brancusi et Picasso qui ouvre les portes à un art révolutionnaire voir anti-sociale.

De l’assemblage à l’installation c’est pour les artistes un domaine sans contrainte qui s’ouvrent à eux, ils peuvent utiliser les matériaux les plus divers, liquides, solides, organiques, minéral voir gazeux, c’est un art ouvert à toutes les expérimentations qui s’ouvre aux artistes de l’assemblage.

La photographie d’art

La Photographie, n’est pas le parent pauvre de vos collections, c’est un moyen économique de démarrer votre passion des arts plastiques.

C’est récemment, que la photographie est considérée comme un art comme les autres. Avec le recul d’une centaine d’années le champ des possibles s’ouvre aux collectionneurs, des manifestations comme, Fotofever, rencontres d’Arles, ou Paris-Photo mettent enfin en avant des photographes incontournables, Sophie Calle, Willy Ronis, Edouard Boubat, Robert Doisneau, Sabine Weiss, et JR, qui ont propulsé aujourd’hui la photographie au rang d’œuvres d’art.

Nos artistes…

Le monde des oiseaux colorés et chatoyants.Ecrivaine et peintre ayant un fort penchant pour les oiseaux imaginaires et les fruits couleurs vives et lumineuses moyens et grands formats

Clotilde Escalle

Marcel Lourel

des années 2CV et vieilles mercedes une période surannée et vintage.

Benoit Montet

Sophie Delpy

Françoise Nathalie Daudin

Michael Lombard

Peinture de l'innocence, autodidacte, rapport fragile avec l'"art

Beatrice Werlie

Hélène Courtois-Redouté

christine-Dumas-de-Rauly peintre abstrait, toiles sauvages représentation animalière.et éclatées

Christine Dumas de Rauly

Claudia Vialaret

Modernité, abstraction, noir et blanc prix Taylor

Céline Weber

Marie Scalliet

Originale, sexuellement expressive, haine, amour, nudité, chaos, outrances

Catherine Wolff

Odile Cariteau

Exigeante, couleurs Energie, Décoration abstraction lyrique

Anne-Michelle Vrillet

Grégory Watin

sculptures essentielles aux formes organiques. sculptures figuratives

Caroline Chopin

Christine Giboni peinture collage et décoration, mode et marques

Christine Giboni

Joelle Evita

Richard Huard de Jorna

Christophe Sterling

Salamandra

Modèles vivants dessins, fusains, pastel, nus

Arnaud Franc

Gaël Labbay

Emmanuelle de Rosa

Marie Tellig

Françoise Cosmao

Pascale Morelot-Palu

Fréderique Callu

Jean-Charles Millepied

Elena Destel

Géraldine Courtes-Warras

Nathalie Gioria

Denis Blondel

Pierre Riollet

décoration, luminosité des couleurs abstraction dynamique

Catherine Faguer

Hugues Absil

Sophie Rocco

Anais Authelain

Virginie steel

Nadji Bousabbah

Phographe

Betty Pepper

Marc Blanck

Virginie Mézan de Malartic

Xavier Blondeau

Peintre acrylique, plexiglass, outsider

Ana Fernandes

Illustration mode et élégance

Aliénor de Céles

Patrick Paufert

Eric Turlot

Marie Traboulsi Marinier

Nataly Goubet

Des sculptures japonisante ou mécaniques des portraits, portraits et des boites

An Marie Léon

Elsa Bac est à la lisère de l'abstraction, ses toiles sont de couleurs vives ,primaires ses toiles sont abstraites avec une inclinaison à l'expressionisme.

Elsa Bac

alissa thor en promenade

Alissa thor

Eric Guéna

Georges Dumas

Sylvie Cliche

Peinture, Gravure, céramique support de déambulations graphiques et visionnaires."

Augusto Foldi

Nadine Bourgne

Graveur (euse) de grands et moyens formats scènes figuratives et fantastiques

Jeanne Rebillaud

Marie Christine Palombit

Dominique Virgili-Walch

Pascale Charrier-Royer

Jean Luc Juhel

Ronnie Némorin

Oebr & Pad

Photographies, Expressionismes, figuratif fantastique

Antoine Monmarché dit Monch

Pierre Sgamma

Noêl Vérin

grosse travailleuse meneuse d'équipe abstraction lyrique natures et couleurs

Anne Pourny

Expressionisme et abstraction lyrique

Aurélie Mantillet

Marc Feld

Magicien expressionniste farouche rebelle et hors normes

Francky Criquet

attachant et imaginatif

Jean luc curabet

Jade Saint Paul artiste Abstrait et nuagisme décoration et couleurs douces

Jade Saint Paul

Violaine Boisivon sculpteur et plasticien contemporain, autour de la terre cuite

Violaine Boisivon

Jean-Marie Rodrigues Peintre-sculpteur plasticien, contemporain coloré et baroque.

Jean-Marie Rodrigues

sculptrice, plasticienne Emmanuelle Tartas dans son atelier, argile autodurcissant

Emmanuelle Tartas

Carla Coll, peintre espagnole et dessinatrice

Carla coll

delphine collot, peintre

Delphine Collot

Isabelle Garderet, peintre crayon aquarelles, encres

Isabelle Garderet

Muriel Massin peintre

Muriel Massin

Joanna Ingarden peintre suisso-polano-française

Joanna Ingarden

Ruta Jusionyte peintre, sculptrice, dessinatrice

Ruta Jusionyte

L.Greo

Florence Lepage

Le monde des oiseaux colorés et chatoyants.Ecrivaine et peintre ayant un fort penchant pour les oiseaux imaginaires et les fruits couleurs vives et lumineuses moyens et grands formats

Clotilde Escalle

Écrivain, j’ai publié nombre de romans.

Je suis journaliste dans le domaine de l’art et je suis plasticienne.

Mes Oiseaux, flottants, fantasques, incandescents, survolent notre histoire, nos territoires,

connaissent le monde, s’en font une raison, s’en éloignent momentanément, s’en échappent, partent

à la rencontre des fables et de l’innocence.

Chacun son caractère, comme un personnage de conte, une métaphore, un brin de poésie.

Témoins inopinés, ils nous accompagnent, se posent çà et là, nous observent dans le tumulte des hommes livrés au fracas ou au contraire dans le retrait d’un espace solitaire qu’ils éclaboussent de couleurs.

Acrylique, encre de Chine, pastels secs et gras, fusain, aquarelle pour voir la matière, les mélanges

à l’œuvre, décider de l’ombre et de la lumière. Chercher les lignes de force de l’oiseau.

De ces oiseaux qui volent sans déployer les ailes, flottant dans le monde des songes. Ils donnent de l’élan à l’espace traversé. Y revenir par couches successives.

Délayer, gratter, ramener la force de la lumière, lâcher l’ossature du dessin, le casser d’une ligne paradoxale, alors l’oiseau s’échappe et s’envole.

Marcel Lourel

Né à Chartres en 1972, Marcel Lourel est un artiste peintre, graffeur et romancier français.

Il appartient à la vague des Street artists qui ont propulsé cet art dans les années 80.

À première vue, l’artiste fait figure de nouveau venu dans le Street art européen. Mais il ne faut pas

se fier aux apparences. Néanmoins, à y regarder de plus près, on s’aperçoit que l’artiste m’est l’accent sur la subjectivité des émotions calcinées, des états d’âme ainsi que sur l’expression des agitations d’un temps.

Pour lui, l’homme contemporain est un homme de son époque. Or, celle-ci, à bien des égards, déplaît autant qu’elle passionne sur certains aspects. Son style pictural du mouvement s’écarte toutefois du réalisme accru de courant tel que l’hyperréalisme, pour renouer avec la question de la subjectivité artistique, des émois et états d’esprit de l’homme.

Attiré par l’art pictural et celui de la rue, le cheminement de Marcel Lourel s’enracine dans l’œuvre contemporaine de Jean-Michel Basquiat. Pour lui, l’artiste New-yorkais expulse une œuvre capable d’effacer toutes les autres aux alentours… Y compris la sienne.

D’un certain point de vue, la lecture des travaux de Marcel Lourel nécessite de dépasser l’objet pour

y découvrir ce qui se cache derrière. Un regard désincarné porté au travail soumis permet de nuancer

ce propos.

Il s’agit de l’émulation aussi brutale et sincère pour l’incréé.

D’un autre point de vue, né du besoin d’exorciser les démons de la vacuité de l’époque, la démarche graphique de l’artiste renouvelle le genre de la peinture à thèmes et de l’épanchement des émotions artistiques. Elle est un hommage à l’art brut et aux manières de détourner les conventions de la représentation d’un objet.

La démarche se veut à la fois dynamique, impulsive voire quasiment testamentaire. Elle a pour effet  de suspendre la dimension réaliste de la peinture tout en provoquant une surcharge émotionnelle de l’expression chez l’artiste – à égale distance – chez l’observateur.

 

 

des années 2CV et vieilles mercedes une période surannée et vintage.

Benoit Montet

Je suis ravi de vous accueillir afin de partager avec vous la passion de mon Art.
Dans mes peintures, je compose des scénarios où les personnages, les automobiles et les décors nous racontent une histoire.
Mon métier d’Artiste m’a permis d’exposer et de vendre mes peintures au niveau international.
Toutes mes oeuvres sont des pièces uniques réalisées à la peinture à l’huile sur toile dans mon    atelier à Paris puis livrées avec un certificat d’authenticité dans le monde entier.
Je mets également mon talent à votre service pour créer des tableaux sur commande suivant vos désirs

Sophie Delpy

Sophie DELPY est artiste plasticienne, autodidacte, née en 1968 dans la Sarthe proche du Mans.

Dès son plus jeune âge, éveillée à diverses pratiques artistiques et plus précisément au modelage     et   à la peinture, elle savait à 12 ans que l’art ferait partie intégrante de sa vie, de son équilibre.  Aussi   loin qu’elle se souvienne ; une attirance, une empathie, un soutien pour les êtres différents qu’elle défend d’un monde qu’elle trouve déjà cruel.

Ses voyages à travers le monde et notamment le continent africain influencent sa créativité où la rencontre avec les populations est sa priorité.

A près des années de pratique picturale pour lesquelles elle remporte deux prix à la Rochelle puis à Nantes en 2013 et mettant de plus en plus de matière sur ses toiles, la sculpture devient une évidence. Dès lors, une série de personnages très colorés en Raku (technique de cuisson céramique japonaise) prend vie. Elle les exposera au Grand Palais à Paris avec la Société des Artistes Français.

Très touchée par la cause des migrants et plus généralement par les différences et inégalités des peuples dans le monde, c’est tout naturellement que naissent en 2019 “Les Ébranlés”, une série de sculptures représentant toujours des personnages parfois  blessés parfois souffrants, surtout expressifs. Ils nous interpellent et transcrivent sa volonté de proposer un travail artistique porteur d’une réflexion sur notre société.

Grâce à sa représentation figurative tout en étant critique sociétale, elle intègre, en 2020, le salon historique Figuration Critique créé en 1978 afin d’affirmer sa volonté farouche de se tenir aux avant-gardes d’une figuration sans cesse renouvelée et combative où l’humain reste le point essentiel. Elle sera élue au Comité d’Administration en 2022.  Elle rejoint également le groupe “singulière sculpture” de Bruno LEMÉE pour le Salon Comparaisons au Grand Palais dans lequel elle sera récompensée par le prix de la Fondation Taylor en 2022.

Elle est référencée dans trois hors-séries du magazine Artension ainsi que dans deux numéros de la Revue post brut et néo singulier TRAKT. On retrouve ses œuvres dans différentes collections privées de France, Belgique, Canada, Afrique du Sud, Etats-Unis, Australie ainsi que dans la collection de Marthe CREGUT-PELLEGRINO (commissaire d’exposition) puis au Hang-Art (François CHAUVET) à Saffré.

Raku, art singulier, art brut sont les mots clefs qui définissent les œuvres de Sophie Delpy.

Françoise Nathalie Daudin

Françoise Nathalie DAUDIN se plonge dans la peinture par des chemins détournés.
Après une carrière articulée autour de la communication et de la publicité, révélateur, un stage à l’Ecole Boulle accélère le rythme de ses recherches incessantes, de ses créations.

Sa peinture gestuelle, intuitive, s’inscrit dans l’abstraction lyrique, ancrée dans le contemporain, où couleurs, matières, acryliques, pigments naturels, fibres végétales, empreintes, traces, jaillissent, s’imbriquent, s’interpénètrent, se mêlent pour transmettre sa sensibilité et déclencher l’émotion. Textures et reliefs appellent au toucher.

Les titres de ses toiles ne sont qu’une date, instant figé de la création, afin de laisser libre d’interprétation le « regardeur » pour des déchiffrements spontanés, infinis : ainsi s’approprier l’œuvre !

Son univers émotionnel aérien, léger, transcrit puissamment sur la toile sa spontanéité de création, un hasard mesuré par l’inspiration dans l’émotion du moment !

Aux expositions personnelles de Françoise Nathalie DAUDIN s’ajoutent la participation à nombreux salons à Paris, en Province et à l’étranger (Belgique : Bruxelles , USA: Miami, New York, Chine : Xi’An, Chypre : Paphos, Nicosie, Japon: Tokyo).
Cotation Drouot Art Price 
Membre de la Maison des Artistes et de la Fondation Taylor
Sociétaire du Salon d’Automne.

Michael Lombard

Nos amis mexicains ont la chance d’abriter un artiste français visu du monde de l’aberrant avec un œil unique pour le beau,

L’invraisemblable et l’absurde: Michael Lombard.

Des œuvres iconiques transformées et dérisoires, étonnantes et à la manière de …

C’est un travail artistique  pour lequel vous ne trouverez pas de parallèle et où l’absurde  bien que parodique, toutes ces œuvres devraient vous amuser.

Peinture de l'innocence, autodidacte, rapport fragile avec l'"art

Beatrice Werlie

L’artiste un personnage touchant et discret, timide aussi. Un attachement viscéral à une vision très personnel de ses portraits. Une sélection voir un enfermement brutal avec les sujets présentés, une forte envie de transmettre l‘amour qu’elle ressent pour ses personnages. Il faut prendre le temp de s’arrêter sur les visages structurés et parfois torturés représentés par Béatrice.

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Hélène Courtois-Redouté

« Terre-à-terre… ainsi définirais-je ma peinture. Classique, charpentée, faite de mes balades sur la côte d’Emeraude ou dans les monts d’Ardèche, elle puise ses racines dans la nature : arbres, nuages, vent, troncs, branches…

 La lumière joue sur le paysage, naturel ou urbain, et redéfinit les couleurs à chaque saison. L’hiver est propice à peindre autre chose : les pommes du jardin, le papier et les drapés sont autant d’objets ordinaires et offrent inspiration et sujet à méditation.

Là aussi, la lumière réécrit les couleurs d’une façon qui m’étonne toujours. J’aime tenter d’en retranscrire toutes les nuances. »

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christine-Dumas-de-Rauly peintre abstrait, toiles sauvages représentation animalière.et éclatées

Christine Dumas de Rauly

Dans la mouvance parfois sulfureuse de l’époque du hip-hop et de l’émergence du street art, la vie artistique de Christine commence avec la musique, car sa mère dessinait trop bien pour la laisser s’exprimer dans la peinture.

Christine devient d’abord chanteuse, avec des chansons réalistes dans un premier temps, puis sans renier ses goûts pour le rock et la musique punk, elle se lance dans le chant lyrique, portée par un timbre de voix colorature.

Marquée dès sa jeunesse par André Breton et son écriture automatique, elle réalise, à la manière des animaux, dans la lignée des expressionnistes abstraits et de l’action painting de Jackson Pollock,

Christine travaille intensément la peinture et le dessin aux Beaux-Arts de Paris. La peinture devient pour elle une révélation permettant d’exprimer sa créativité, portée par un état transcendantal, où elle voit venir à elle des formes

et des couleurs venant d’on ne sait où.

Son diplôme complémentaire de l’Ecole Nationale d’Art l’a menée à l’art abstrait et à collaborer à la fondation du collectif de l’Aprés, collectif de performances de rue, après de multiples étapes qui suivent sa formation académique.

L’encre de chine est un médium aussi mystérieux que le japon et les dessins d’Okusai. 

Elle ressort la boite de travail de ses débuts et y trouve son accord, l’encre de chine.

Toiles abstraites où se mêlent l’encre, le verre et la peinture vitrail, l’ombre et la lumière, symboles de l’ambivalence de l’homme face à sa condition animale, face à sa vraie nature tantôt cruelle, tantôt merveilleuse.

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Claudia Vialaret

                                                                                                               Claudia Vialaret est une créatrice d’images qui privilégie le médium photographique. Elle produit des œuvres hybrides entre la réalité et fiction, entre la peinture et la photographie.
Ses sources d’inspiration sont l’histoire de l’art, la peinture, la littérature et la danse.

Parmi les sources de son travail la peinture de Courbet «le désespéré» est détournée et se mêle à ses autoportraits.

Cette série de suite d’images montrent les tentatives successives de l’artiste photographe pour s’insinuer dans la peinture et en partager l’émotion. C’est une rencontre inédite entre

la peinture et la photographie.

Elle est plasticienne de formation, et après plusieurs années de pratique de la photographie argentique, du dessin et de la peinture à l’huile elle vient à la photographie numérique.
Elle comprend qu’avec cette technique elle peut faire des liens entre sa passion pour l’histoire de l’art, ses réflexions sur l’image et son goût pour les nouvelles technologies.

Sa création repose sur les grandes problématiques qui parcourent l’art contemporain : la réflexion sur l’acte créateur, les possibilités imaginatives grâce aux nouvelles technologies et

la réappropriation d’œuvres classiques. Ses œuvres hybrides se situent au carrefour de ces, questionnements.

Ainsi, dans ‘Caravagesques’, je combine à mon travail sur le froissement physique et numérique une réflexion sur la création artistique, par une mise en abîme, une

construction-déconstruction des liens entre peinture et photographie.
Distorsion et abstraction sont aux confins de mes recherches. Photographiquement, Elle le mêle au rouge, à l’ocre, teintes au cœur du baroque et ne s’interdit pas le noir et blanc.
En conclusion, l’exposition nous conduit sur un chemin tortueux et sensuel, entre figuration classique et expression contemporaine.

En érudite de l’histoire de l’art, Claudia Vialaret fait voler en éclat la représentation classique, dans la peinture comme dans la photographie, en construisant une réflexion gigogne et

plurielle, combinaison rendue aujourd’hui possible par les nouvelles formes d’expression virtuelle

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Modernité, abstraction, noir et blanc prix Taylor

Céline Weber

Artiste Peintre, née le 7 janvier 1972, Céline Weber a passé sa jeunesse en Afrique subsaharienne. Elle manie le pinceau, la taloche,le couteau… pour se consacrer à sa passion : la peinture, principalement abstraite. Au fil du temps, de ses rencontres, de ses émotions, de ses audaces et de ses influences (Niki de Saint Phalle, Joan Miró, Hans Hartung,Nicolas de Staël, Pierre Soulages…), son inspiration donne libre cours à sa créativité en cheminement perpétuel.« J’aime la matière, la couleur, l’expression du trait dans toute sa complexité. J’aime prendre le temps d’oublier le temps… Créer ! » Elle dit peindre pour elle avant tout, sans craindre les écueils, chercher absolument à conquérir le moindre regard posé sur son travail. Cette liberté est l’essence même de la densité, du relief et de l’esthétisme qui jaillissent des toiles de tous formats qu’elle nourrit à l’acrylique.

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Marie Scalliet

MARIE SCALLIET débute dans l’existence, avec une sérieuse formation artistique. Après une formation universitaire supérieure en langues étrangères, des cours aux Beaux-Arts de Poitiers pendant 2 ans et une formation avec La Condamine (Paris) – “Artiste Entrepreneur” – 2021Elle vit et travaille à La Roche sur Yon (Vendée). Et commence à peindre lors d’une longue convalescence, et n’a jamais cessé depuis plus de vingt ans, en parallèle d’une carrière en entreprise.  Aujourd’hui, elle se consacre pleinement et uniquement à la peinture, s’employant à faire émerger l’énergie présente dans le sensible par le langage des couleurs et des formes abstraites.Elle possède une technique très complète, puisqu’elle peint sur toile, ou sur papier, ses supports sont principalement l’acrylique, avec parfois,  pastels à l’huile, encres, marqueurs, graphite dans le cadre d’une technique mixte. La peinture de Marie Scalliet est tantôt bouillonnante et impulsive, tantôt douce, en réaction au monde qui l’entoure et à l’énergie qui s’en dégage. Influencée par le courant artistique de l’expressionnisme abstrait, qui reflète la liberté des couleurs et des formes, Marie Scalliet traduit la diversité des sollicitations du sensible dans notre environnement quotidien, par un renouvellement dans les formes de ses compositions. Les peintures sur toile et support acrylique, parfois avec pastels à l’huile, encres, marqueurs, sont toujours différentes. Les œuvres sont réalisées rapidement, et sans retouche. Il arrive même qu’elles soient entièrement recouvertes le lendemain ! Les couleurs vibrantes et le graphisme évoquent le mouvement, les turbulences ou bien l’arrêt, et s’imposent au regard. Devant l’œuvre, le spectateur est plongé dans un univers poétique et se laisse emporter sans appréhension vers sa propre sensibilité. Il en ressort avec une vitalité renouvelée

 
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Originale, sexuellement expressive, haine, amour, nudité, chaos, outrances

Catherine Wolff

On peut préférer oublier à quel point l’art nous dérangera. Pour Catherine S. Wolff, la question ne se pose pas. Sa peinture n’est faite ni pour gêner ni pour rassurer. Elle est une respiration, un mode d’existence qui lui permet de ne pas être dérangée, justement. Elle peint durement, comme elle respire donc : rien de plus rude que ses formes et ses thèmes. Or, approchez cette femme, ce qui domine, c’est son rire, « énaurme ». Pas d’angoisse apparente ni de refrains pathétiques. Dans la vraie vie, elle vit et va, légère. Pas ses toiles, qui exhibent ce qui ne pourrait être autrement, durablement. Peindre, ce travail en profondeur, va ici remuer la face inavouée, et faire surgir un matériau brut et nu, non habillé, non maquillé. Le sexe nu et l’effroi.

De ce que saisit son pinceau, on peut craindre le pire ; mais ce n’est jamais sans propos ni avant-propos. C’est qu’un fait particulier, marquant, a enclenché cette mise en scène, mise à mort, amour. Quelque amant, quelque injustice l’aura-t-elle heurtée ? Catherine S. Wolff leur règle sur-le-champ, comme en duel, leur compte. Duelle ? Non, elle est tout d’une pièce, alors que ceux qu’elle foudroie sont tordus. Allez vous étonner que ses toiles aient mauvais genre après ça ! Toutes intimes qu’elles lui soient, elles et elle ne se confondent pas : sa peinture est une autre, plus méchante, plus comptable de la réalité. Un lien existe en commun cependant, l’humour. Humour face à l’amour, humour contre l’amour. Rire lui permet d’aborder ce sexe que l’on ne saurait voir sans qu’il nous crache au visage, morde, nous dévisage. Notre sens du bon ton va se déchaîner ; mais la peinture, ici, l’a précédé. Et assumé.

Omniprésent, le sexe de cet art, est-ce haine, ou amour ? C’est avant tout une économie de moyen visant à l’essentiel : la nudité. Cette nudité qui, plus petit terrain d’entente, captera le vrai. Une œuvre plus nue que celle-ci, vous en connaissez ? Suspension du temps et des sexes. Le rapport hommes-femmes est-il mis en souffrance ? Qui en a peur ?

« Qui a peur de Catherine S. Wolff ? »

Vous détestez son art ; vous lui en voulez. ça se comprend.

Vous acceptez son art ; vous en voulez. ça se comprend aussi.

Ce qui se comprend, c’est que Catherine S. Wolff, malgré qu’on en ait, a des couilles. Pas moins « couillarde » que celle de Cézanne, adepte du mot, on avise une peinture dont les titres, pour ne pas la borner, explorent un axe ludique, riche en référents littéraires, culturels, picturaux. Au titre, ce héraut, de porter une part des affres que cette exploration du grotesque, du « grand macabre », de l’outrance, engendre par monts et pas maux.

Mots, maux… L’art de Catherine S. Wolff lui vaut maints ennemis, le tout premier étant elle-même. C’est ainsi qu’affrontant son « ego » de vilain petit canard, elle saura ne pas s’y perdre : au risque que son jeu épique – qui fait tournoyer grandeur et misère, dépassement et cruauté – évite tout possible apaisement, si ses rets traitent du cauchemar et jamais du rêve, c’est que l’apaisement effraie le cauchemar et le nie. A la toile faite au risque de l’effroi d’outrepasser toute répulsion, dont la nôtre ! La sienne, primordiale, n’instaure rien moins qu’une « catharsis » – cette purgation de nos passions capable de liquider nos refoulements. « Cath’-art-sis » gît ainsi. Frédéric Amblard.

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Odile Cariteau

Construire un pont entre les continents, évoquer le principe universel de l’homme, démontrer l’importance fondamentale de la nature, rappeler le lien véritable qui unit l’homme à celle-ci; cette démarche s’inscrit dans le parcours artistique et philosophique d’Odile Cariteau.

“Ecouter, sentir, regarder autour de soi suffisent pour voir peu à peu l’invisible devenir compréhension.

Les sens restés en éveil permettent à l’homme de percevoir l’âme de l’univers et sa beauté éternelle”.

Née dans le désert de l’Adrar en Mauritanie, Odile Cariteau a passé son enfance et son adolescence en Afrique de l’Ouest. Cette terre aride a conforté très tôt une inclination naturelle au silence, à la contemplation et à la méditation ainsi qu’un amour et un fort respect pour la Nature et l’Homme.  Adulte et revenue définitivement en France, ses questionnements intellectuels, de la culture hébraïque à l’école Chan, marqueront de leur empreinte ses aspirations artistiques comme autant d’étapes symboliques et initiatiques.

Depuis 2009, le voyage et l’approche physique et géographique de nouvelles cultures font à nouveau partie de ses préoccupations philosophiques.

Lyrique, mais considérant la case un peu étroite, ses sujets de réflexion sont des abstractions qui ne se traduisent pas simplement sur la toile, du moment où le spectateur peut y percevoir quelque chose de connu.

La manière poétique et libre avec laquelle elle aborde ses sujets de réflexion est lyrique comme l’est son rendu pictural.

Pierre Soulages, Shitao artiste chinois le moine Citrouille amère et Ito Jakuchu peintre japonais du végétal et des insectes ont pour des raisons diverses influencés Odile Cariteau dans sa quête du perfectionnisme.

Le noir et le blanc, fondement de son rendu pictural s’inspire fortement des réalisations de ces 3 artistes.

 

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Exigeante, couleurs Energie, Décoration abstraction lyrique

Anne-Michelle Vrillet

Très jeune, à l’époque de toutes les bohèmes et au gré des rencontres, elle fut tout à tour  ou de conserve illustratrice, maquettiste, costumière, styliste, décoratrice, trompiste, designer, artiste de la publicité et de l’événementiel. Elle eu le privilège de connaitre la fin  du marbre à l’imprimerie et le début de la numérisation, celui d’être enseignée par des sachants de traditions ancestrales et d’appliquer cet héritage aux outils informatiques, de s’amuser en créant des mondes virtuels (3D).

“La sensualité de la matière, de l’odeur des matériaux, de l’intensité de la couleur sont des moments d’intense relation à soi et s’il y a narcissisme dans l’art c’est bien là qu’il se situe. Sinon on parle en termes d’image …” et utilisant l’outil numérique depuis le début des années 90, je cerne la différence.
J’ai eu le bonheur de travailler avec F Dauphin-Meunier, G.Kayac, S. Gainsbourg et de participer à la création où la rénovation de lieux chargés de fantasmatique comme le théâtre de l’Empire….
J’ai des années durant créer des installations éphémères, valoriser des espaces , les transcender à l’aide d’objets du quotidien, les voir prendre vies modifier les perspectives et leurs environnements. 

Je remercie toutes les personnes que la vie m’a permis de croiser et espère pouvoir continuer le chemin…”

Grégory Watin

Jeune peintre-plasticien, Grégory Watin est un artiste d’une incroyable modernité. Même s’il a quelques filiations avec l’art Povera et le Pop Art, il a su trouver son propre style et se situe parmi les artistes les plus ancrés dans leur époque. Toujours en questionnement, il exploite les matériaux les plus insolites comme la matière brute des chantiers et le plexiglas, qui deviennent ainsi les symboles de notre civilisation en quête de sens. Ses dernières œuvres redonnent au corps masculin une place étonnante qui nous interpelle sur la notion de paraître. Un artiste incontournable.

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sculptures essentielles aux formes organiques. sculptures figuratives

Caroline Chopin

Captivée par les œuvres que le sculpteur Robert Conte, voisin de la maison familiale, exhibait dans son jardin, c’est enfant que Caroline Chopin commence sa découverte de la sculpture. Avant d’engager toute pratique, elle l’a d’abord étudiée. Titulaire d’un D.E.A en Histoire de l’Art, elle se passionne pour la sculpture moderne, par ces artistes du XXème qui osent se détourner de la figuration classique pour libérer la forme et la réinventer.

Elle s’intéresse particulièrement à Hans Arp, Ossip Zadkine, Henry Moore, Robert Couturier et Etienne Martin. Au cours de ses années d’études, elle fréquente l’atelier de Stevan Veljkovic, peintre Lillois avec lequel elle s’initie au dessin d’observation. Un jour, le peintre apporte de la terre glaise pour faire modeler ses élèves. La collusion avec la matière est une évidence et va dès lors orienter la vie de la jeune artiste. Après un bref séjour dans l’atelier du sculpteur Armand Debève ou elle apprend les rigueurs de la reproduction au compas, plus un jour ne passera sans qu’elle ne travaille la matière. Deux rencontres, durant les années 90, furent décisives au début de son aventure artistique; celles du sculpteur parisien Claude Lhoste, et de son Galeriste Michel Dauberville (galerie Bernheim-Jeune).Leur soutien, leurs conseils et la transmission de leur passion ont marqué l’artiste. En 2001 elle se voue entièrement à la sculpture et en fait son métier. Artiste de l’entier, la sculptrice travaille d’abord et surtout le modelage de l’argile, le plâtre puis le grès cérame et enfin la porcelaine, passant ainsi de la rudesse d’une matière à la délicatesse de l’autre. Chaque médium donne naissance à une expression différente. L’artiste veut savoir tout sculpter et passe en quelques années de l’exploration des formes pleines, tendues, essentielles, au flot tumultueux de formes organiques dans un total lâcher prise. Nourrie par l’enseignement qu’elle dispense depuis 2014 à RUBIKA école réputée dans le milieu de l’animation et du jeu vidéo; où la figuration à la part belle, elle signe avec ses dernières pièces un retour à l’humain et ajoute à son vocabulaire formel, tout en jouant la disproportion, une des parties les plus sensitives du corps : les mains. Récompensée du prix “d’artiste de l’année” en 2010 par Lille Grand Palais. Représentée par la galerie Jean-Luc Moreau à Lille et PCAGalleryart à Alicante, Caroline Chopin, a participé à de nombreuses expositions et salons en France et en Europe.

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Christine Giboni peinture collage et décoration, mode et marques

Christine Giboni

Christine a toujours vécu à Paris, ville qu’elle adore. Depuis une dizaine d’années, elle élabore son écriture artistique dans la lignée de l’art urbain en jetant des passerelles entre des approches plurielles : l’affiche et le graphisme avec la typographie et les jeux de lettres d’une part ; la matière  et la couleur d’autre part. Mélangeant collage et peinture, elle ne veut pas s’enfermer dans une technique et ici l’un ne va pas sans l’autre : question de rythme, de composition. 

On imagine un air de jazz pour accompagner ses toiles. On perçoit en regardant ses lettres danser ou ruisseler sur la toile au milieu de belles plages de silences de couleur pourquoi elle aime des artistes aussi différents que Basquiat, Villéglé, Nicolas de Staël ou Zao Wou-ki. La lettre est le personnage principal habitant la ville ; les mots ne sont que des satellites ou des cadavres exquis. 

Christine Giboni aime la typographie, jouer avec le corps des caractères, estomper les lettres jusqu’à les faire (presque) disparaître ou les gratter jusqu’au sang quand le rouge embrase la ville. Elle se situe dans une forme de lettrisme détourné où l’esthétique prend le pas sur le concept. Ses bandes de mots ou plutôt ses mots en bande s’apparentent subtilement aux tours des grandes métropoles. Ses compositions alternent accumulations et vide, le blanc habitant avec plénitude l’espace urbain pavé de belles lettres.

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Joelle Evita

Issues d’un métissage de cultures très différentes, les racines de Joëlle Evita portent en elle une forte charge symbolique. Joëlle parle beaucoup de la notion de mémoire terreau de son histoire; le lien de la vie et de la mort visible et invisible. 

Alors qu’elle n’avait même pas 20 ans, Joëlle a quitté Paris, où elle est née en 1960 et où elle a grandi. Dans les années 1980, elle a côtoyé le monde des chevaux qu’elle considère comme une forme d’art en soi :

” J’ai toujours baigné dans l’art mais sous des expressions diverses. J’ai communié dans l’art équestre pendant 30 ans, j’ai cherché le point d’équilibre en communion avec le cheval qu’un équilibriste doit avoir pour ne pas tomber de son fil suspendu dans le vide. 

Maintenant je communique avec l’écriture et la peinture, la difficulté est autre car je suis seule”.

Autodidacte, la Bruxelloise tout juste installée découvre l’univers des artistes où elle ne cessera d’apprendre. Après l’Académie

Des Arts de Braine-l’Alleud, elle est finalement diplômée de l’Ecole d’Arts d’Uccle où elle a trouvé davantage de liberté artistique  pour progresser. C’est en 2008 qu’elle devient artiste professionnelle.

 

“Les mots de mes textes sont métaphores de mon histoire. Une histoire qui se relie à ce tout monde dont nous faisons partie, une

reconnaissance du terreau dont mes racines sont issues qui se révèlent ensuite comme une renaissance arborescente de la forme

picturale « 

Sous une apparence abstraite, Joëlle narre scrupuleusement des scènes mémorielles qui l’habitent et se résument en conte, texte, image confuse au premier regard, mais explicites,

signifiantes, engagées, voire cru si on les décode.

 

Ses représentations, par superpositions, par traits, aplats sur toile ou sur papier s’entourent de sculptures  rêve d’un monde

Invisible qui crée un univers dans lequel la mélancolie poétique a la place de chanter.

 

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Richard Huard de Jorna

Quelques mots de l’artiste, Richard Huard de Jorna, né en 1946 :

Depuis plusieurs années je peins pour me décontracter de mon activité géopolitique USA, EU, ASIE notamment les Philippines.

Dans ma peinture le choix des couleurs est influencé par l’actualité géopolitique La boutique d’art en ligne “Huard de Jorna” a été créée pour permettre aux passionnés de peinture d’acquérir les tableaux que j’ai peints sur plusieurs années. J’ai commencé à peindre en 1989, au début par plaisir et depuis 2015 je peins par goût de la création, passion des couleurs et pour le travail de la matière et le rendu des couleurs en effet, la plupart des tableaux disposent d’une palette de 15 couleurs de base. Dans mes tableaux on retrouve l’émotionnel de mon caractère et l’influence de la politique mondiale.

Certains tableaux sont reposants, d’autres plus violents dans les couleurs et la composition. Pour moi, un tableau doit posséder une âme et surtout apporter de la joie à le contempler. Ma longue pratique de la peinture et la connaissance des différents courants

me permettent de vous proposer des tableaux diversifiés dans un éventail de styles et de tendances variés, des tableaux qui offrent un écho à votre passion de la peinture.

 

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Christophe Sterling

Né en 1958, avocat durant de longues années, il a pétri le rêve humble et secret d’exprimer sa créativité artistique par la peinture, dans un premier temps et depuis 10 ans par la photographie.

Photographe autodidacte expérimenté et innovant dans l’esprit de la photographie humaniste.

Il présente aujourd’hui son travail pour sa seconde exposition en France.

L’humain le passionne.

Ses clichés témoignent parfois la violence amère du réel et toujours la charge émotionnelle attachée à sa sensibilité.

  Christophe Sterling est un passionné de l’image et des hommes qu’ils immortalisent. Ses photographies s’inscrivent dans une définition bien précise de sa recherche personnelle et offre une définition précise de son humanité.

Cela ne l’empêche pas de travailler sur commande:

« En cette période où retrouver ceux que nous aimons n’est pas facile pourquoi ne pas en profiter pour nous retrouver nous-même.

Et si nous nous offrions une pause de plaisir valorisante sous l’œil curieux et bienveillant d’un photographe qui nous fait du bien.

Un rendez-vous pour soi pour prendre la pose et sourire.

Se laisser aller à la capture des sentiments qui nous animent et à la créativité d’un amoureux des émotions.

Se faire tirer le portrait pour se redonner goût de soi et se faire transcender par l’instantané de l’image.

Un moment insolite de partage et de joie pour se redonner confiance.

 

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Salamandra

Née aux Etats-Unis, Lisa Salamandra réside et travaille en France depuis plus de vingt-cinq ans. Artiste peintre professionnelle depuis plus de trente ans, elle expose son travail régulièrement depuis 1989. Ses séries “Raw Meat” et “Daily Bread” ont été présentées à la Résidence de l’Ambassadeur des États-Unis, à la Fondation des Etats-Unis (Paris), à l’Institut Franco-Américain (Rennes), à “Europain : Salon Mondial de la Boulangerie”, ainsi que dans des galeries à Paris, à Berlin, et à Princeton.
Docteure en Arts & Sciences de l’art, Lisa Salamandra a soutenu sa thèse en recherche en Arts plastiques à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne en septembre 2018. Sa recherche, exclusivement sur sa série “Raw Meat”, a été menée sous la direction du Professeur Michel Sicard. Elle est diplômée d’un Master II Recherche en arts plastiques (2011) de cette même université et d’un BFA (1989) du Maryland Institute, College of Art à Baltimore.
Lisa Salamandra est affiliée à La Maison des Artistes. Nombre de ses œuvres se trouvent dans des collections privées, publiques et d’entreprises. Plusieurs publications lui ont été consacrées : les catalogues d’exposition, Crotches (2017) et Daily Bread: Raw Meat (2013), et la monographie Daily Bread (mon pain quotidien) (2009). Elle est actuellement chargée de cours d’arts plastiques et de recherche et méthodologie à Paris College of Art (Ecole nationale supérieure d’art et d’histoire de l’art) et Chercheuse associée au laboratoire de l’axe 5 Plasticité de l’Institut ACTE de L’Ecole des Arts de la Sorbonne à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne.

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Modèles vivants dessins, fusains, pastel, nus

Arnaud Franc

Depuis plus de 25 ans, Arnaud Franc place au cœur de son travail la figure humaine, fruit d’une collaboration avec des modèles vivants dans son atelier.

Ces corps, ces attitudes, ces états, rayonnent en lui et le pressent, pour que jaillisse sur le papier, la toile, leur présence.

Impressionné par le vivant, Arnaud Franc trace fébrilement ces instantanés, et donne corps à une galerie de portraits. Pour prolonger la main il choisit de s’exprimer avec des crayons, fusains et autres peintures et pastels. Il aime ce contact physique et la rencontre de ces médiums anciens.

Ce travail, habité par la tradition du dessin, en actualise et interprète librement les codes formels en s’appuyantsur la force de l’instant.

Arnaud Franc est né à Villefranche dur Saône en 1966, et suit ses premiers cours de dessin à l’âge de 16 ans avec Marc de Mikelis à Lyon. ses études artistiques l’orientent vers le design et l’architecture d’intérieur, d’abord à Lyon à l’Ecole d’Arts Appliqués, puis à Paris, à l’Ecole supérieure d’Arts Graphiques (Académie Julian).

c’est durant cette période que fut créé l’atelier familial à Dardilly (Rhône) où défilèrent en nombre modèles et peintres.

En 1994, Arnaud Franc décide de se consacrer uniquement au dessin.

En 2000, après avoir vécu à Strasbourg et Lyon, Arnaud Franc revient s’installer sur Paris : il y ouvre un atelier en 2005 dans le quartier du Faubourg – Poissonnière.

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Gaël Labbay

Gaêl Labbay est un artiste breton, Le pastel gras rend libre, facilite l’expression, permet de modeler.

Et j’aime ça.
Mon dessin se nourrit de prières.
Les visages apparaissent alors au fil des traits, des couleurs.

 

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Emmanuelle de Rosa

Emmanuelle de Rosa art singulier Assemblages, détournements, accumulations, collage et upcycling :

Je m’appuie principalement sur ces techniques pour tenter de traduire mon questionnement sur la société́ contemporaine occidentale.

Autodidacte, mon travail s ‘inscrit dans le mouvement de l’art outsider ou singulier. Si ma recherche artistique est protéiforme, des constantes demeurentJe m ‘inspire de la philosophie et de l’esthétique des cabinets de curiosités des XVIIIe et XIXe siècles, tout en m’appuyant sur des matériaux de récupération ou de seconde main qui soulignent le constat d’une société passée à l’ère du jetable et de l’hyperconsommation.

J’utilise ainsi les accumulations d’yeux anciens de poupées, je redonne vie à des squelettes d’animaux ou bien je détourne des objets anciens de dévotion pour illustrer mon propos : l’idée que nous avons hérité de vestiges gallo-romains, de trésors celtes, de cathédrales aux dentelles de pierre, mais que nous lèguerons des posters de Claude François, des Goldorak en plastique et quelques ruines de béton.

Mieux vaut en rire

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Marie Tellig

Artiste peintre tourangelle, ma technique est l’acrylique, que je travaille au couteau et au pinceau.

Après un parcours philosophique, il m’a semblé légitime de répondre à une attente personnelle en me tournant ces dernières années vers la peinture et mon goût pour les couleurs libérées et l’abstraction lyrique. Dans cette perspective j’essaye de mêler travail artistique et harmonie.

Les mouvements, que j’espère naturels et spontanés me donnent l’impression d’un réel lâcher prise. Pas de titre sur mes toiles, « chacun se les approprie à sa façon ». Si je ne cours pas les salons, j’ai une réelle envie que la peinture soit maintenant mon principal moyen d’expression.

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Françoise Cosmao

Artiste peintre aux racines bretonnes, Françoise Cosmao vit et travaille entre la région parisienne et le Finistère, lorsqu’elle ne voyage pas à la recherche de nouvelles inspirations pour sa peinture.

Issue d’une famille à la sensibilité artistique prononcée, elle fait ses débuts en peinture au début des années 80. Trois années durant lesquelles elle suit les courts du peintre Hautinguiraut à Quimper. Trois années de découverte qui vont la marquer profondément.

Elle s’installe ensuite à Paris où naissent ses deux filles. C’est en 1993, qu’elle revient finalement à la peinture en participant aux cours de Catherine de Bretagne. Une période durant laquelle elle s’essaye au travail au couteau, qui devient son outil de prédilection. Rapidement, il s’impose que la peinture sera son métier.                                                                            Les premières expositions s’en suivent. Elle organise notamment durant plusieurs années des rassemblements d’artistes bretons au Manoir de Kerlut à Lesconil entre 1998 et 2001. Elle multiplie les expositions personnelles en Bretagne, à Paimpol à la Galerie Sillage. Ses premiers salons parisiens comme celui des indépendants en 2000 ou Art en Capital en 2004. La même année, elle expose à Shanghai en Chine. Elle participe à un second salon chinois en 2012 à Canton. Aux États-Unis aussi en Caroline du Nord.

Des expositions dans des galeries parisiennes (Atelier 17, Galerie Lemoine…) et salons parisiens, à Marseille à la galerie du Faro, Regard à Brest, Angle Trois à Quimper.                                                                                                          Chaque année, entre les salons et expositions personnelles, Françoise Cosmao expose régulièrement son travail entre Paris et le reste de la France. Elle est également exposée de façon permanente à la galerie Sillage de Paimpol, à la boutique Le Minor de Pont-L’abbé ou encore chez Neroli à Valence.

Curieuse d’approfondir son approche du mouvement et du corps, elles suit les cours de nu à l’école des Beaux Arts de Paris de 2004 à 2007. Trois années de cours du soir passées à explorer le dessin d’après modèles vivants qui l’emmènent un peu plus loin dans sa recherche de l’essentiel, du trait juste.

Si l’artiste a épisodiquement suivi des cours pour enrichir sa pratique, c’est surtout par elle-même qu’elle expérimente avec les matières et les techniques. De ses voyages, elle rapporte pinceaux, pigments et outils, qu’elle adapte ensuite à sa peinture. De Chine, elle ramène ses premiers bambous pinceaux dont elle se sert encore aujourd’hui pour son travail de l’encre. De Venise ses pigments au lapis lazuli, ses pinceaux japonais achetés à Tokyo. Source d’inspiration multiple aussi bien pour ses sujets que pour sa pratique, les voyages nourrissent son art à différents niveaux et ce depuis toujours.

Et lorsqu’elle ne cherche pas l’inspiration en Asie, en Afrique et même à New York, c’est vers la Bretagne qu’elle se tourne. Sa région natale peut être considérée comme le fil conducteur de son parcours, un sujet de prédilection toujours d’actualité. Qu’il s’agisse des costumes traditionnels bigoudens, des marines ou des paysages, la Bretagne a toujours joué un rôle majeur dans le travail de l’artiste. Quant à son style, elle a depuis ses débuts montré une affinité toute particulière pour le figuratif. Fascinée par le mouvement et la délicatesse du geste, notamment féminin, elle aime donner vie à ses personnages. La couleur, intense, souvent gaie et chaleureuse fait également partie des signes distinctifs qu’on lui reconnaît. Avec les années, l’amour du geste, la passion de la couleur demeurent mais flirtent de plus en plus avec l’abstraction. Une envie de simplifier, d’épurer qui la guide depuis quelques années maintenant.

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Pascale Morelot-Palu

Pascale Morelot-Palu est une artiste au parcours singulier. Architecte-artiste, elle porte un regard passionné sur les murs, leur matière, leur histoire et la notion de verticalité qu’elle explore sans limite. Elle peint avec l’émotion du peintre et les outils du maçon. Penchée sur la surface de sa toile posée à plat, elle érige « des verticales côte à côte ». Un mur absorbe sa nourriture, il boit, transpire, ternit, s’affaiblit et s’écroule. (…) Les murs, comme la mémoire, gardent, absorbent, enregistrent tout. Peindre des murs, être à l’écoute des murs, passer à travers les murs, c’est l’irrépressible rêverie qui l’habite depuis toujours. (…)

Ileana Cornea, Critique d’art

Présente dans de nombreuses collections en France, elle expose également depuis plusieurs années en Chine et en Corée.

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Fréderique Callu

Autodidacte à 12 ans, je crée mon premier laboratoire 

noir&blanc dans le placard de ma chambre. Munie de vieux livres, de patience et de persévérance, je me passionne pour la magie de l’alchimie des techniques argentiques.

Animée par le goût du voyage, je traverse les Etats-Unis en bus à 

18 ans, de New York à Los Angeles et je découvre à cette occasion 

la magie de la lumière, l’envie d’immortaliser chaque paysage avec mon Nikon FG20.

Je m’installe ensuite à Paris, et je continue de perfectionner ma technique en m’inscrivant en cours du soir de techniques du Noir & Blanc à la Sorbonne, tout en travaillant dans un laboratoire photographique professionnel spécialisé dans la recherche médicale.

Je cumule des heures au labo et des milliers de tirages afin de toujours perfectionner plus avant ma technique afin de trouver mon interprétation propre.

Je partage mon temps entre voyages, travaux de créations, petits boulots et expositions.

D’autres travaux viendrons nourrir mes thèmes voyages, comme La “Woman Attitudes”.

Tout en jouant toujours avec la lumière du jour, je crée des décors-ambiances dans l’optique de faire exprimer à plusieurs femmes cette force cette rage qui sommeil au fond de moi.  

Je développe également un concept de “photothérapie”en travaillant avec des populations en souffrance ou en manque d’estime de soi afin de les aider à reprendre confiance et à avancer. Plus de 300 personnes passent devant mon Nikon, une aventure humaine extraordinaire.

32 ans de passion et de créations avec de nombreuses expositions chaque année.

Sélectionnée dans de nombreux salons d’Arts contemporains

Grand Palais, Salon d’Automne, Mac Paris, Salon Baltard, Art Metz…

Exposée en galeries et salons à Paris, en province et à l’étranger.

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Jean-Charles Millepied

Jean-Charles Millepied occupe une place à part dans le monde très fréquenté de l’expressionnisme abstrait. Sa démarche, empreinte d’une rare humilité, est celle d’un renoncement à la forme tridimensionnelle pour élaborer un univers où la fonction de peindre est subordonnée à l’expression spontanée de l’inconscient, mais aussi tempérée par la raison. Ainsi la fureur tumultueuse d’un de Kooning lui est-elle totalement étrangère. Chaque geste est pensé, les teintes sont savamment sélectionnées selon leur sonorité et la composition s’élabore lentement, dans le calme, loin des trépidations frénétiques et des déchaînements chromatiques des expressionnistes abstraits. C’est miracle, en effet, que d’assister à la construction savante d’un tableau donnant une telle impression de liberté, de puissance, d’intensité plastique exprimée en dehors de toute contrainte ! D’après Noël Coret

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Elena Destel

Elena produit des images au quotidien depuis 10 ans et elle s’expose enfin !
Photographier lui a permis de prendre du recul sur ses expériences et survivre à des épreuves personnelles intenses.  L’appareil photo est alors devenu une barrière pour se protéger des sensations envahissantes.
A tâtons, elle explore sa sensibilité à fleur de peau et s’interroge à travers l’image : sur son corps, sur sa famille, son histoire et ses relations… et par le biais de la photographie, elle trouve une place un peu à l’écart mais plus confortable, au milieu des autres.
Ce travail sensoriel lui permet de se retrouver, de ressentir à nouveau son corps et ses limites, de prendre conscience de son identité, de son histoire. Dans l’intimité, elle découvre finalement un vecteur pour se connecter aux autres.

Fraîchement arrivée sur Paris, Elena Destel est récemment accueillie dans le pool d’artiste de la galerie Angel Arts. Elle présentera notamment la série JE SUIS UNE CHEVRE QUI VOLE, pèlerinage en Algérie sur les traces de sa famille et réflexions sur la relation père – fille, plusieurs projections accompagnées de sons, et la série MELANCHOLIA, une exploration à travers les autres en quête de ses propres émotions.

 

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Géraldine Courtes-Warras

La ligne, l’action et l’évasion.

Parmi les tableaux abstraits ici présentés, plusieurs se distinguent par leur structure picturale. Certains sont caractérisés par la répétition ou l’agrégation d’un motif donné, d’autres présentent des formes aux contours géométriques. Ces structures bouleversent l’illusion de profondeur, le contraste entre l’avant et l’arrière-plan ainsi que le rapport entre verticalité et horizontalité caractéristique des perspectives linéaires.

En tant que peintre semi-abstrait, je tente de parvenir à un style où la ligne devient sujet et où j’incite à bouleverser l’illusion de profondeur, le contraste entre l’avant et l’arrière-plan. Je désire suggérer le figuratif dans l’abstraction, quelque chose qui évoque plutôt qu’il n’impose. Par les formes, les couleurs, et les symboles, je conjugue l’ordre et le chaos, la douceur et la violence, le discours et le silence. Une transcription de la vie, une représentation du temps qui passe, de l’éternité du changement comme seule loi immuable dans l’univers.

Le dessin, c’est l’expression d’une sensibilité, une réserve d’émotions. L’artiste inspire l’air du monde, le dessin est sa respiration.
En dessinant il insuffle au monde extérieur sa vision de ce même monde. L’artiste qui dessine de façon primitive projette son monde intérieur, tout en prenant en considération le monde extérieur.
Le dessin instinctif c’est créer la surprise, c’est révéler un monde inconnu et nouveau, comme une apparition. L’art consiste à révéler ce qui existe en nous y compris pour celui qui regarde le dessin. G-C-W

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Nathalie Gioria

 

Son atelier est situé dans le Vexin et fait partie du circuit des ateliers d’artistes du Vexin-Thelle.

Il est situé à 20mn de Magny en Vexin et Beauvais, 10mn de Chaumont, 15mn de Marines, Gisors et Méru en fait tout près de tout.

Passionnée elle a pris quelques virages professionnels qui l’ont mené d’une carrière commerciale au sein d’une SSII aux paysages.

Formée à l’école National du Paysage à Versailles avant de se consacrer pleinement à sa passion du Pastel.

Mes paysages sont purement imaginés ou parfois réalisés sur le motif. Très sensible aux atmosphères j’aime travailler la matière afin de tenter de restituer ce que je ressens.

Ma pratique est libérée des diktats du pastel et je me passionne pour les incidents créés par la confrontation des couleurs et des textures.

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Denis Blondel

Denis Blondel peintre expressionisme contemporain a suivi la route, tracée, par Rebeyrolle pour s’en affranchir ensuite et ouvrir de nouvelles pistes, découvrir des territoires jusque-là ignorés. Denis Blondel nous livre un expressionnisme nouveau qui réjouira les collectionneurs du grand maître disparu, il nous offre une peinture que l’on savoure avec délicatesse. 

Denis Blondel s’inspire du spectacle sans cesse renouvelé de ses contemporains, et couche sur la toile leur misère, leur travers quotidiens, leurs dénuements psychologique et sexuelles, leurs vies sans joie. En utilisant une variété de techniques et de médiums et en s’identifiant à la tendance expressionniste que l’on peut croire dissimulée dans un océan abstrait, Blondel témoigne de l’état de la société moderne et appelle une réponse émotive du spectateur. C’est une vision fiévreuse, à lecture multiples où le corps se transforme et mute. 

L’étrangeté s’étale sur toute la surface de la composition.  La touche de l’artiste travaille l’effet de brouillage contribuant à une sensation de désorientation. Ses portraits à l’expression charnelle laissent peu d’éléments définis. Pourtant, dans cet équilibre dense et déstructuré, on distingue quelques références figurées ; telles que le portrait de la Joconde ou un couteau… 

Denis Blondel dépouille autant qu’il humanise. Ses travaux sont une invitation à sonder le corps et les abîmes de l’âme, la présence et l’absence, l’éphémère et la fragilité de l’existence humaine. L’obscur se fait clair, avec une tonalité blanche récurrente, évoquant le corps poudré d’un fard traversé par le néant. Cette évocation du caractère transitoire de la vie place son œuvre dans une mobilité évolutive. Là-même où l’élévation individuelle et l’ouverture de perspectives se dessinent. »

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Pierre Riollet

Au-delà du symbolisme du tunnel, c’est à la fois l’effet graphique et l’effet esthétique qui m’intéressent dans ce thème. Quel que soit le sujet, le cadre magnifie la lumière et nous la renvoie, le spectateur, aveuglant dans son intensité. J’aime le contraste du cadre sombre, dirigeant l’œil vers une ouverture brillante et abstraite, laissant l’imagination se précipiter dans et hors de l’espace image. L’idée de passage et de transition est inévitablement exprimée ici.

Pierre Riollet est né le 25 avril 1963 et est diplômé de l’Ecole d’Art Auguste Renoir à Paris en 1983. Après 20 ans passés dans la publicité, d’abord en tant qu’artiste graphique et enfin en tant que directeur artistique, il décide de se consacrer exclusivement à la peinture en 2003. L’illustration de l’illustrateur, Norman Rockwell, l’a amené à s’intéresser au mouvement réaliste américain. Les artistes, Edward Hopper et en particulier, Robert Cottingham, l’ont influencé en ce moment. 

À la suite d’un voyage aux États-Unis en 1987, il entreprend une série d’œuvres à grande échelle présentant des façades américaines et leurs ombres projetées. Deux ans plus tard, en 1989, il présente ces peintures dans sa première exposition personnelle. 

 

Parallèlement à ses peintures de façade, il a travaillé sur d’autres sujets, des natures mortes et des paysages, avec diverses techniques (aquarelle, encre-lavage et dessins) et a publié un livre illustrant un fétiche préféré de son  “flipflops”! Ce sujet lui a été cher pendant presque deux décennies maintenant. Ayant longuement travaillé sur les façades  il embrasse aujourd’hui «contre jour» toujours séduit par la lumière et les contrastes profonds. C’est l’essence essentielle de sa recherche rs séduit par la lumière et les contrastes profonds. C’est l’essence essentielle de sa recherche artistique aujourd’hui. il embrasse maintenant “contre jour” toujours séduit par la lumière et les contrastes profonds. C’est l’essence essentielle de sa recherche artistique.

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décoration, luminosité des couleurs abstraction dynamique

Catherine Faguer

Passionnée d’art, c’est de ses nombreux voyages que Catherine Faguer tire son inspiration. Après une formation aux Beaux-Arts de l’Ecole du Louvre (2003-2008), elle a travaillé régulièrement tout au long de l’année aux Ateliers de la Miroiterie avec Laurence Jeannest depuis 10 ans et travaille aujourd’hui avec Daniel Lacomme au sein d’un groupe d’artistes passionnés. Après avoir commencé à travailler l’argile au service de représentations figuratives, elle s’est intéressée au bois pour des constructions originales se mêlant parfois au plastique ou autres matériaux. C’est seulement après quelques années que Catherine Faguer s’est tournée vers la peinture, pour nous donner sa vision bien abstraite du monde qui l’entoure : “on peint, on sculpte, parce qu’on aime ça, parce que c’est en nous, qu’on a envie de créer, de s’exprimer et par défi aussi .Ses inspirations sont diverses : De Kooning, Joan Mitchell…

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Hugues Absil

À l’ère de “l’art contemporain”, il est à ce jour reconnu pour ses peintures sur Venise, et ses personnages torturés mais nous les retrouvons aussi pour ses paysages orphiques et ses paysages forestiers.

Marqué par la peinture de GOYA. Hugues Absil montrent les talents d’un peintre qui n’est pas seulement figuratif mais glisse aussi vers l’abstraction (…) ses personnages très sombres (…) expriment magnifiquement ses émotions et son approche de l’humain ” E Bickart”.

Par la pratique quotidienne du croquis, il actualise une correspondance entre l’art et la vie.

En 2016, Il obtient le 1er prix du salon international du portrait 2015 organisé par l’association ARTEC . Il fait partie du comité de sélection de la Biennale du 109 à Paris.

Il enseigne la peinture, le dessin et la gravure à Paris-Ateliers. Il est responsable des classes préparatoires aux écoles supérieures d’art du Cours Saint-John Perse à Paris Il est diplômé de l’ENSBA (École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris) en lithographie dans la classe d’Abraham Hadad et en dessin dans la classe de Daniel Sennelar.

Après avoir obtenu une maîtrise d’Histoire de l’Art sous la direction de Philippe Dagen et de Bruno Foucart à l’Université Panthéon Sorbonne , il devient titulaire d’un DEA d’Histoire de l’Art sous la direction d’Eric de Chassey à l’Université Paris-Sorbonne. Il est également diplômé en tant qu’ingénieur de l’ESTP (Ecole Spéciale des Travaux Publics).

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Sophie Rocco

Malgré qu’elle soit autodidacte, Sophie réussi à quatorze ans le concours d’entrée en arts plastiques du collège Ganneron à Paris.

Elle intègre l’école d’art graphique Sornas 11 Av. des Chasseurs, 75017 Paris où elle “apprend au contact de maîtres, peintres réalistes contemporains qui l’initient au dessin et dont Sophie va longtemps l’inspirer”.

À cela s’ajoute son amour inconditionnel pour la culture, les musées, les galeries d’qrt enrichi par ses nombreux voyages aux quatre coins du monde, ils ont joué un rôle essentiel dans son épanouissement personnel et artistique.

Imprégnée d’un sentiment profond d’isolement vis-à-vis du monde qui l’entoure, Sophie s’est patiemment construit une identité artistique originale et plastique résolument singulière baignée de spiritualité elle est centrée sur l’exploration de l’âme humaine et sur un bonheur contagieux.

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Anais Authelain

Anaïs Authelain nous fait découvrir un univers sensible entre figuration et abstraction poétique. Nous cheminons parmi ses “paysages intérieurs” à la découverte de créations pleines d’énergie et de mystère. De strates de couleurs vives et gaies nous basculons dans la brume de subtiles compositions. « Avant de me consacrer à plein temps à mon activité artistique, j’étais art-thérapeute en Avignon. Mes années d’expériences auprès de personnes en souffrance psychique ont largement influencé les approches instinctives et intimes de ma peinture. Aujourd’hui, je me passionne pour les couleurs, les lignes, les formes, la nature, ses saisons et les paysages qui entourent ma Provence d’adoption. »

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Virginie steel

Depuis son enfance, Virginie a un besoin vital de créer, comme si l’art “inné et coulant de source”, de cet état, elle en a fait sa priorité. Lorsqu’elle commence une nouvelle œuvre, cela se fait tout en douceur puis au fur et à mesure, la relation s’installe, sa création mûrit et grandit avec elle. Ce qu’elle ressent à ce moment-là : “douleur et exaltation”. A chaque fois, elle va chercher, au fond d’elle-même, dans l’extrême. C’est un véritable “accouchement ” pour chacune d’entre-elles. Parce que baignée dans les années 70, ses sources d’inspiration et toutes ses créations sont inévitablement influencées entre couleurs, formes et matériaux sans évidemment oublier le design. En architecture, c’est l’attirance des années 30, formes épurées, simples, toutes en rondeur, et surtout la joie de ces années-là… Elle oriente ses études dans l’art graphique, à Nantes, travaille en free-lance, devient directrice artistique pour de très grandes agences parisienne (Edition – communication – packaging signalétique – marketing direct). Le choix de l’utilisation des caractères d’imprimeries est arrivé dans sa vie comme une “révélation“

Alliés à une très grande influence du graphisme, son style et son goût très prononcés pour la typographie sonnent comme une évidence et s’imposent dans la construction de ses œuvres. Celles-ci très féminines, avec beaucoup de rondeur dégagent cependant une vraie force, “une facette de sa personnalité“ qui ne peux que nous donner une démarche libre, radieuse dans le choix de ce métier où les hommes sont plus nombreux. Une telle force, de part ce mélange de matières qu’elle travaille : – Le bois : une matière brute, très noble dont les essences de différentes teintes, le toucher d’une telle douceur et chaleureuse à la fois. – Le plexi, ce côté plastique, chimique, aux couleurs et transparences surprenantes. – L’aluminium, fascinant de beauté, de pureté et de “clinquant” à la fois. Quel contraste, entre ces mots, avec ces lettres d’imprimeries et ces matières qui se heurtent : pour arriver, où le tout, est un Art très Contemporain avec un petit esprit Art Déco cependant assurément présent. Son œuvre est complexe, osée par les messages, en perpétuelle recherche et opposition : mais c’est tout “elle”. A la fois douce, forte, enrichie, facétieuse… Son univers, tout en verticalité ou cubique, Sculptures Urbaines réalisées à partir de caractères d’imprimerie datant du siècle dernier. Piliers de l’histoire qui s’élèvent à travers des mots, du vécu, laissant place à la poésie des lettres. La force de son travail, contraste et opposition, de ses matières, donnent naissance à de nouvelles formes, en perpétuelle recherche. Quel “caractère”. Le dialogue qu’elle crée entre son œuvre et celui qui l’a reçoit, Une très belle histoire, pleine d’humour et d’audace

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Nadji Bousabbah

Nadji Bousabbah est un artiste Tunisien ” mes figures, ne doivent absolument rien à celles, que l’on a l’habitude de voir  sur les cimaises des écoles maternelles “

Mes œuvres sont nées dans la douleur . Alors que celles des enfants sont nées dans la joie.

Mes sculptures appartiennent à l’art primitif d’inspiration africaine. Elles sont aussi l’art de la récupération et elles méritent un chapitre à part.

Martine Sandoz

 

Le travail de Martine Sandoz à une approche de l’expressionisme abstrait, dépouillée, réinterprétée du réel et des émotions ressenties et s’appuie souvent sur l’écrit ( poésie, contes, textes de voyageurs).

L’influence de certains maîtres du monde de l’abstraction l’on considérablement influencée.

Cy Trombly d’abord, son œuvre croise certains enjeux majeurs de l’art au xxe siècle tels le  dilemme abstraction/figuration, l’influence de la psychanalyse, le primitivisme, le rôle de l’écriture et du signe en peinture et bien sûr Joan Mitchell la plus parisienne des américaines Joan Mitchell, qui faisait partie de la « seconde génération » du mouvement expressionniste abstrait reste une des références de Martine Sandoz.

Elle développa une œuvre à la fois abstraite et expressionniste que l’on retrouve dans l’œuvre de Martine, lyrique et puissante.
Sur la surface blanche dépouillée, Martine recherche la justesse et la spontanéité du geste, privilégiant structures, traits et graphie. Dans son travail, il est difficile de distinguer dessins et peintures, l’un et l’autre à travers des matériaux différents reposent sur la prépondérance du geste.
Elle travaille beaucoup sur papier qu’il s’agisse  de peinture de dessin ou de techniques proches de la gravure.

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Phographe

Betty Pepper

Betty PEPPER est une artiste multidisciplinaire.

Née à Paris, elle est diplômée en Lettres et Arts (audiovisuel et photographie) et expose actuellement plusieurs de ses oeuvres à la Galerie Le Lieu de Regard (La Rochelle).Betty Pepper a participé à de nombreuses expositions collectives et différents évènements dont le Festival d’Arts Actuels Ré-Oléron, la Foire d’Art contemporain de Bruxelles et a exposée en solo show ses travaux sur la filiation à la Galerie Bletterie (La Rochelle). Quelques unes de ses photographies ont été publiées dans un numéro spécial d’Open Eye Magazine et elle a eu dernièrement le bonheur de réaliser une résidence d’artiste au Théâtre de La Fabrique du Vélodrome (La Rochelle, 2020).« Utilisant l’expression artistique sous de multiples formes, je tente d’aborder via la photographie, le texte, la musique ou parfois encore la vidéo, l’intériorité et l’universalité de l’émotion. De sa naissance jusqu’à son empêchement, de ses conflits de loyauté jusqu’aux répercussions de la société sur elle, je tente aussi de réhabiliter le sens du merveilleux et son essence contemplative sur nos vies dans l’attente d’une créativité nouvelle ». Betty Pepper

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Marc Blanck

Personnage atypique, Marc Blanck, né en janvier 1939 en Alsace, après des études d’art graphiques, est passé par l’École des Arts Décoratifs et travaille dans la création publicitaire tout en s’adonnant à la peinture, jusqu’au début des années 1970. Il se lance alors dans une carrière d’antiquaire qui le placera parmi les meilleurs de sa confrérie, respecté par toute la profession, et ce durant une trentaine d’années…Et c’est à partir de 2012 qu’il se consacre exclusivement à sa passion d’origine : la peinture.

Il peint de façon très libre et instinctive. Adepte de l’action painting, de l’all over, au sein du mouvement de l’expressionnisme abstrait , sa peinture gestuelle, intuitive et viscérale le conduit dans des chemins sans cesse explorés, tendant vers l’infini, qui dépassent la notion même du cadre.
On sent bien chez Marc Blanck cette « nécessité́ intérieure » de peindre qui l’anime et le pousse à renouveler sans cesse l’expérience.

Sa peinture, faite des sensations et des émotions du moment, tire partie des moindres taches, coulures ou accidents non recherchés, pour aboutir à une émotion désirée et enfin révélée… Jean-Charles Millepied 

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Virginie Mézan de Malartic

Comment évoquer une toile de Virginie Mézan de Malartic si ce n’est, par la perception d’un bruissement divin ! C’est trop me direz-vous ! Peut-être mais… Tout l’univers de Virginie est dans les sensations que dégagent ses toiles et la façon qu’elle a de nous les présenter.

Elle nous dévoile un domaine que l’on imagine mais que nous n’avons jamais réellement distingué car on ne l’a jamais vraiment vécu. Ces toiles sont la caricature d’un monde réel et pourtant existant, des scènes de théâtres multiples et colorées fait d’interrogations et de questionnements des moments simples où la solitude à une place prépondérante et centrale. Ces œuvres nous interrogent vraiment. Ces toiles nous font rêver ou nous angoissent, elles n’apportent pas de réponse aux questions qu’elles nous posent. Leurs thématiques figuratives nous transportent dans un monde que nous imaginons bien, mais nous nous satisfaisons de son univers fantasmagorique bien plus rassurant que la réalité. Interrogeons-nous, il en restera toujours quelque chose.

 

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Xavier Blondeau

Xavier Blondeau au cours d’une série de voyages à la découverte de l’immensité des terres arides, il commence à s’interroger sur la place de l’individu dans son environnement. Se tourner vers la photographie est sa façon de donner corps à son questionnement. En 2009, il reprend ce travail photographique autour de l’individu, qu’il réalise en complément de son travail journalier de chercheur-conférencier.
A travers ses séries photographiques, il cherche des réponses de plus en plus intimes. Sa démarche reste instinctive -même s’il a cédé et structure désormais mieux son travail- tout en s’orientant vers une esthétique très épurée. Il n’est mû que par l’émotion, et c’est ainsi qu’il navigue entre l’abstraction, où il explore l’intimité, et une représentation très graphique, afin d’ancrer ce fantasme dans la réalité. Ses photographies enveloppent toujours la scène d’incertitude, incitant ainsi le spectateur à proposer sa propre interprétation de la réponse du photographe à son propre questionnement…

 

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Peintre acrylique, plexiglass, outsider

Ana Fernandes

De part ma culture visuelle et mon parcours j’entretiens une relation particulière à l’image. Le cheminement créatif importe beaucoup dans mes démarches et cependant je ne peux me détacher d’un résultat pictural. Ainsi sur mes différents concepts j’utilise des fonds que je m’approprie.Je cherche à trouver comment l’acte de l’artiste peut transformer un amalgame de signes, empreintes, formes parfois imposés, en oeuvre. Pour obtenir ce résultat, j’utilise la participation du public, je détourne des photographies, ou je m’impose des motifs aléatoires souvent produits sous la contrainte du happening. A travers le drawin’Muzik, j’investis la gestuelle

Yvette Cathiard

 

Yvette Cathiard est artiste peintre. Sa principale source d’inspiration est la femme, ses vêtements, ses accessoires. 33 de ses oeuvres sont devenues des couvertures de livres.

A 20 ans elle a rencontré Bernard Dimey poète de son état et auteur de chansons. ils ont partagé les homards, la joyeuse vie et la même adresse pendant 14 ans. Après sa disparition en 1981, l’éditeur Christian Pirot lui a demandé d’écrire sa biographie.
Elle a donc écrit ” La blessure de l’Ogre” qui a reçu ” Le grand prix de la littérature Charles Cros”. Elle a ensuite publié un roman ) ” La morsure de l’Ange” (aujourd’hui épuisé) Edition Christian Pirot.

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Illustration mode et élégance

Aliénor de Céles

Née à Saint Raphaël en 1972 dans des rouleaux de tissus. L’artisanat, la confection, le bruit des machines à coudre, les patronages -la mode côté coulisses-plutôt que paillettes, la création artistique sous toutes ses dimensions- m’accompagnent depuis ma petite enfance. Peut-être est ce pour cela que je n’établis nulle ligne de démarcation entre mes différentes activités artistiques: Cette absence de cases et de conventions est le fil conducteur de ma vie d’artiste, mon éclectisme, mon champs des possibles, ma liberté. 

Après un baccalauréat en arts plastiques puis un BTS d’expression visuelle, j’intègre la faculté des sciences de l’art à Toulouse en1992 et je finance mes études en créant des motifs textiles, en dessinant des portraits, et des mosaïques pour des boutiques.

En 1996, je m’installe à Paris et je prends la direction artistique de la maison de couture Blancs Manteaux jusqu’en 2015.En parallèle, en 2002, j’ouvre ma propre entreprise, bureau de création Alienor :Je développe une entreprise de services et diffusions artistiques, des commandes de costumes et des demandes diverses dans la conception. Le dessin en reste la source. Je commence à exposer régulièrement mes peintures et mes dessins. En 2007, de retour à Paris, je crée ma propre marque mademoiselle aliénor: des petites séries, du sur-mesure et du semi-mesure.Je réponds à de nombreuses commandes d’illustrations, ou de confections notamment pour la compagnie de théâtre Dos à deux (Brésil) ainsi que des commandes de costumes pour des séries TV, Pink Lady.Depuis 2015, je me concentre sur ma peinture et mes dessins. Tout en animant des ateliers pédagogiques de peinture en école maternelle et primaire et continuant mon travail d’illustratrice pour Larousse et Bash. 

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Patrick Paufert

Je vous laisse lire cet excellent texte de Jean-Paul Gavard-Perret sur ce travail qui fait preuve d’une exceptionnelle vigueur et rigueur : “Tout participe au plaisir de vivre dans le magma des formes. Le geste semble suivre son odyssée. Ce n’est plus un culte qui est rendu au désir mais ce qui se cache derrière. Ses débris volent. Mais pas seulement ses débris. Sous les plus grands effacements des standards de représentation surgissent pour reprendre le mot de Bacon des  » coagulations  » magiques par l’emprise d’une énergie qui lutte contre l’atrophie, l’immobilisation, la dégradation. C’est là sans doute la force de l’œuvre. La déformation signifiante pousse à des découvertes incessantes : il suffit de s’agripper à chaque toile.”

Pierre Souchaud

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Eric Turlot

Eric Turlot est un transfuge du monde de la communication. Après des études aux Arts Appliqués (Duperré) et aux Beaux-Arts de Paris,De 1975 à 2005 il est concepteur graphique et rédactionnel, puis directeur de création dans diverses agences de communication parisiennes.

C’est en 2005 qu’il entame sa carrière de peintre professionnel en exposant dans diverses galeries et salons parisiens. C’est le début de la série «Autour de Minuit»: une peinture urbaine qui reflète la lutte de la lumière et de la nuit dans un esprit Jazz.

Eric Turlot vit à Paris et puise son inspiration au cœur de la Ville-Lumière. S’il a choisi d’installer son atelier en Normandie, c’est peut-être à cause des impressionnistes, ces autres chasseurs de lumière.

En 2009, le travail d’Eric est récompensé par deux prestigieuses sociétés académiques :
– Arts Sciences & Lettres – Médaille d’argent
– Mérite et dévouement français – Médaille d’Or
Eric Turlot fait également partie de Drouot cotation et est membre de la fondation Taylor.

Les toiles d’Eric Turlot sont un peu comme cette chanson de Nougaro :
«L’enseigne au néon… à l’entrée du bouge, éclaire la chambre noire, d’une lumière rouge quand descend le soir… et dans cette chambre rouge y a un grand type noir avec une femme rouge en robe de soie noire…»

On y retrouve tous les acteurs de sa peinture : la ville, la nuit, la lumière artificielle, le cinéma et le jazz. Lumière, cinéma et jazz, ces 3 enfants nés au vingtième siècle qui ont vu le jour la nuit.

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Marie Traboulsi Marinier

Artiste peintre Libano-Française née à Alexandrie, Marie Traboulsi Marinier, mieux connue sous le nom de Marie Marinier vit au Liban et suit des cours de peinture dans son adolescence à l’atelier du peintre Haïdar Hamaoui.

En 1976 elle s’installe à Paris pour sa formation à Penninghen et l’obtention de son diplôme d’architecte d’intérieur à l’académie Charpentier.

Entre une carrière d’architecte d’intérieur et de peintre, Marie choisit la peinture et s’établit en 1985 en Provence dans la région des Alpilles.

A partir de cette date son travail s’intensifie et s’exprime à travers divers salons et expositions en France, en Europe, au Liban et aux USA.

En 2008 elle s’établit dans la région Vichyssoise dans son nouvel atelier.

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Nataly Goubet

Née à Chaumont (Haute Marne), elle arrive à Paris pour ses études. Hésitant entre peinture et sculpture, elle suivra des formations auprès de Françoise Frugier, Dominique Chauveau, Isabelle Aeschlimann, Nicole Giroux et Christian Gesse aux ateliers des beaux arts de la ville de Paris de 1991 à 2002.

 

Nataly Goubet expose à Paris à partir de 1993 avec des expositions personnelles dans différents lieux tels que le Press’Agrumes, le centre culturel Clavel Paris XIX, Le Colombier à Ville d’Avray, l’Espace Horizon Culture à Nogent ou encore l’espace Beaujon Paris VIII.

 

Après un parcours traditionnel avec travail sur modèles vivants, elle rejette le style classique et elle entame une création de peintures abstraites plus libres et plus personnelles.

A partir de ce moment là, elle commence à travailler en France avec les galeries Aroumda puis Olivia Ganancia à Paris, FPL à Royan et Marie Ricco à Calvi, ainsi qu’en Belgique avec les galeries Artfiler et Yes Art Gallery à Koksijde ou encore en Autriche avec la galerie Lindengrun à Vienne. Elle devient sociétaire de la fondation Taylor depuis 2017

Elle participera également à différents salons en France parmi lesquels Mac2000, le Salon de Mai, le salon des Réalités Nouvelles, Comparaison ou encore à l’étranger à Bruxelles, Londres ou NewYork.

 

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Des sculptures japonisante ou mécaniques des portraits, portraits et des boites

An Marie Léon

Anmarie Léon veut saisir les émotions, forcément fugaces, sur le visage de l’Homme. Elle s’y attache, depuis que le métro parisien lui a montré la diversité des traits. En sculptant, elle interroge ces reflets de l’humanité.

Elle aime la rugosité de la terre « chamottée », c’est la promesse d’une force supplémentaire donnée à ses visages. Ses « tronches », elle les aime, certaines plus que d’autres. Entre eux se crée « une vraie relation ».

C’est une fresque qu’elle compose, des « arbres de vie » ou des chaînes humaines. Chaque soir, elle travaille la terre et le grès. Elle aime « ne pas maîtriser ce qui sortira de ses mains ». Ce sont des envies et des coups de cœur. À la sortie du four, la patine à l’acrylique réveille encore les visages. Naissent alors Fernande, Marcel ou Raoul, des anonymes familiers.

Dans l’atelier-galerie d’Anmarie, un certain Gainsbourg côtoie une Marie-Antoinette, un poisson punk ou encore des députés, inspirés « sans prétention aucune » des caricatures d’Honoré Daumier.

 

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Elsa Bac est à la lisère de l'abstraction, ses toiles sont de couleurs vives ,primaires ses toiles sont abstraites avec une inclinaison à l'expressionisme.

Elsa Bac

A la lisière de l’abstraction, mon travail est une étude incessante du corps de façon expressionniste. J’utilise des couleurs vives, primaires. Ces corps zoomés sont esquissés d’un geste rapide cernés par le trait noir du fusain, impulsif laissant toute liberté aux couleurs, aux éclaboussures et aux tâches qui transmettent mon ressenti. Aller vers l’essentiel dans l’urgence, dans le lâché prise, savoir tout donner. J’expose dans différents salons d’art, galeries… Art Karlsruhe, Salon de Garches, Salon d’Automne Paris, Puls’art le Mans, Art cité Fontenay, RDV d’Art, Artfiler Bruxelles, angel arts, 

 

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alissa thor en promenade

Alissa thor

Née à Paris en 1974, cette autodidacte vit à Paris et travaille à Rouen. Elle a fait des études de Lettres et de Philosophie et est devenue documentaliste à l’Éducation Nationale pendant 12 ans. Depuis 2011, elle se consacre exclusivement à la peinture et à l’écriture (poésie).

Longtemps « intello » et prenant plaisir à manier les abstractions, j’ai eu le besoin radical de rompre et de me confronter directement à la matière : prendre la vie, par l’autre bout si l’on veut. Dès lors, la peinture, et plus particulièrement l’huile, a été le terrain d’expérimentation idéal : agir et agir instinctivement… trouver son souffle, son rythme, son corps.

Là où en poésie il s’agit de peaufiner, ici il faut « s’arrêter » à temps : suppression ou ajout, rendre papable en rajoutant ou non… une couche. L’expressionnisme est naturellement le mouvement qui me « parle » le plus…

Alissa est une expressionniste dans l’âme, qu’elle agrément d’une autre passion que la peinture L’écriture et plus particulièrement la poésie.

Ce n’est que récemment qu’elle se consacre à la peinture, en effet son agrégation de lettre moderne l’a longtemps cantonné à suivre un parcours de documentaliste à l’éducation nationale.

Elle se définissait comme une intellectuelle qui s’est aperçue d’une indéfectible envie de rompre avec son activité principale et de se confronter avec la matière, l’huile en l’occurrence. À cet instant la peinture et l’huile en particulier a été un merveilleux chemin initiatique et expérimental elle a trouvé son souffle et son rythme elle a défini ses limites et compris que l’huile aussi avait ses limites, savoir arrêter le trait.

Il ne lui reste plus qu’à définir ses objectifs et l’espace qu’elle désire donner à sa passion mais il semblerait qu’aujourd’hui elle n’ait pas envie d’en sortir.

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Eric Guéna

Né en 1953. Architecte DESA, doctorat d’esthétique et sciences de l’art. Il a suivi plusieurs formations dont celles d’Architecte et de Restaurateur d’Art Japonais et Chinois. C’est ainsi qu’il apprendra, développera et s’imprégnera des techniques picturales tant occidentales qu’orientales. L’alliance de ces différents savoir-faire se retrouve aujourd’hui dans son style et participe à la singulière atmosphère qui habite chacun de ses tableaux.

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Georges Dumas

Georges Dumas photographe, plasticien est né en 1975. Il vit et travaille à Aubervilliers depuis dix ans.

Son atelier se situe dans un entrepôt loué par l’association d’artistes OPAZ dont il est le trésorier. Il présente son travail en France et en Europe depuis 2007 à travers des expositions personnelles et collectives en galerie, dans des salons et des foires.

Parmi la soixantaine d’événements auxquels il a participé, on peut mentionner les foires Fotofever, Art Up et Art Montpellier, les salons MacParis, Puls’Art, Figuration Critique où ArtCité. Il est représenté par la galerie Pandem’Art en France.

Avec 6 autres artistes, il fonde le mouvement Transfiguring en décembre 2014 et en est un des principaux animateurs. On lui doit le texte du livre publié en 2018 qui présente la démarche artistique du groupe ainsi que la plupart des textes dans les médiats.

Il prépare une conférence sur la place de Transfigurent dans la photographie contemporaine qui sera prononcée en octobre 2020 lors de la foire Art Montpellier, ainsi que le commissariat d’une exposition collective prévue au centre d’art L’Atelier de Mitry-Mory au printemps 2021.

Après que son travail a été publié en novembre 2019 dans la revue Niepcebook, il a entamé une collaboration avec l’éditeur Corridor Eléphant en tant qu’auteur de textes sur d’autres artistes. Depuis une dizaine d’années Georges Dumas crée des mélanges de peinture et de photographie.

De la photographie, il conserve la prise de vue initiale, de grande qualité qui est le fondement exigé, de l’œuvre en préparation. Il en garde également, malgré le maniement effectué sur l’ordinateur, l’exactitude et la qualité plastique qui a différencient des œuvres hyperréalistes.

Pourtant, une paintography n’est pas une photographie, il s’agit d’une construction plasticienne qui fait douter le regard, qui pose la question de la nature de l’image qui est offerte aux yeux des spectateurs.

Quelle part de l’œuvre a été captée par l’objectif, la part de la peinture et du travail plasticien y a-t-il une modification informatique inéluctable.                

Que doit-on conserver dans cet univers élégant et mystérieux ?

 

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Sylvie Cliche

Au-delà d’un esthétisme et d’une écriture affirmés, c’est une recherche de sens qui guide l’artiste. Au fil de corps organiques, ses sculptures interrogent nos semblables. Expressionniste ascendante singulière, secrètement existentialiste. Les thèmes ou sujets qu’elle aborde n’ont qu’une seule destination : la condition humaine, lien indéniable qui uni toutes ses créations. Elle ressent donc l’impérieuse nécessité d’un monde qui se repenserait Créer devient nécessairement un acte engagé, altruiste et empathique.

“Je suis une éponge de terre, « J’absorbe et recrache », sans complaisance et en toute liberté : mon rapport au public est frontal et j’assume une certaine provocation que je ne pense pas gratuite. J’affiche mes colères intérieures contenues : j’accuse.”

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Peinture, Gravure, céramique support de déambulations graphiques et visionnaires."

Augusto Foldi

D’origine italo-hongroise, Augusto Foldi suit les cours de l’Ecole des Beaux-Arts et des Arts Appliqués. A la fin des années 60, il vit dans le nord de la France où il réalise ses premières peintures. Il s’installe à Paris en 1975. Il entreprend une série de recherches sur les techniques de peintures à l’huile à travers le symbole et la métaphore ; il nourrit également une double réflexion sur les origines et la valeur réelle de l’engagement entretenues par l’Art, la Philosophie, la Rue. A la fin des années 70, s’appuyant sur son expérience d’ascendance orthodoxe, il développe une thématique fondée sur une interrogation mystique de l’Homme, l’Art, la Création. Augusto s’exprime à travers la peinture, la gravure, la céramique, les installations.
“Cultivant une relation privilégiée avec la mémoire et ses secrets, l’artiste s’empare de telles parcelles d’aventures, légèrement désuètes, quasiment ignorées, pour en faire le support de déambulations graphiques et visionnaires.” Françoise Monnin

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Nadine Bourgne

Rien de plus cruelle, plus folle et colorée que l’enfance… l’artiste l’envisage… Nadine Bourgne trépigne dans un chaos abstrait d’où se tracent des lignes de forces, des entourages bariolés, des espaces explosifs. Ils se côtoient dans un jeu jubilatoire qui témoigne d’une possible harmonie entre les forces profondes vitales.
Comme dans les contes, rien d’enfantin si ce n’est les soifs de vie, de tourbillons lumineux et d’extrêmes violences picturales libérés de leurs carcans morbides. Ainsi de par sa faconde enjouée, elle ne renonce à rien qui irait contraindre sa créativité. Elle sait que ce sera par le jet libre de ses mouvements et par la soudaine harmonie qui en découle que la vie atteint les plus hauts rêves de bonheur.
Si on l’entend ainsi, elle vous donnera outre la force de ses toiles, son plus beau sourire. Yannick Lefeuvre (Salon Puls’Art)

 

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Graveur (euse) de grands et moyens formats scènes figuratives et fantastiques

Jeanne Rebillaud

Des plis des manteaux sur les fauteuils du salon familial qui attrapaient l’œil de la jeune dessinatrice, enregistrant alors en solitaire la vie des objets familiers au repos de leur fonction, Jeanne Rebillaud semble avoir conservé le goût de l’infime détail, de la brisure de la matière et de sa trace dans le choix de son medium. Car ce qu’elle nous donne à voir, les tirages ou les estampes, ne sont que l’ultime étape de son geste de graver : ils sont les miroirs imprimés sur papier des planches incisées, creusées, sillonnées de sa pointe sèche, selon une technique particulière d’impression. La gravure, peu importe le choix de sa technique, en l’occurrence en taille directe, offre une image finale toujours différée de son temps de fabrication, si éloigné de l’immédiateté et de l’omniprésence de l’image au XXIe siècle, et dont la plaque peut se faire palimpseste comme support infini d’une seule œuvre.

Est-ce par cette part d’ombre et cachée à laquelle nous n’avons pas accès, mais subodorons, que nous sommes captés par le travail de Jeanne Rebillaud comme si nous cherchions les mystères de cette immersion dans la matière et le temps qui les a fait naître ? Un « voyage » jamais connu à l’avance selon l’artiste et propre à chaque gravure.

Dans le travail de Jeanne réside une force discrète et vivante de ses sujets, grâce à l’agencement des traits irréductibles entre eux qui réussit à donner matière, par exemple, aux battements d’une végétation supposée herbeuse, ou encore à la tension des muscles des corps qui s’approchent, s’empoignent, se mêlent, s’interpénètrent ou s’éloignent. Selon les séries – personnages solitaires, tentant le duo et ses variations, pris dans la foule ou encore les paysages de nature résolument loin de leur commerce -, ses traits sont au cœur de formes de vie tantôt allègres, sombres, profondes ou ludiques, parfois tout à la fois, quand d’une foule agglutinée au moins un se sépare de la masse, semblant venir jusqu’à nous qui le regardons et qui l’attendons presque par une ultime transformation surgir du cadre pour venir nous dire à quoi il échappe. Vertigineuse individuation et pourtant si proche. Les tons de noir, de blanc, de gris qui se dégagent du rythme des traits et de leur profondeur, crée des rapports de masse à géométrie variable, brouillant les frontières entre l’intérieur et l’extérieur des personnes et de la nature qui traversent l’œuvre de l’artiste, que l’absence généreuse de titre redouble encore. C’est ce relief intérieur qui habite les corps des personnages et des paysages qui nous invite à regarder de plus près encore de quoi nos propres solitudes se tissent en miroir de ses paysages sans homme et de ses hommes livrés à eux-mêmes dans le cadre de l’image.

Pour le dire avec les mots du poète René Char : « Seules les traces font rêver », c’est bien ce à quoi nous convient les gravures de Jeanne Rebillaud, au-delà encore des veloutés de gris qui caressent l’œil. Elise Clément

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Marie Christine Palombit

On sait que dans l’expérience chamanique, le remembrement a lieu suite à un long parcours de démembrement de tout le corps. Plus encore que rencontrer sa propre mort, le sujet fait ici l’expérience de sa dissolution au sein de la substance.

 

Ce qui est troublant dans le cas de cette série de peintures de Marie-Christine Palombit, c’est que ce « Remembrement » succède à plusieurs séries de fragments qui, à divers titres, peuvent être assimilés à l’expérience du démembrement.

 

Ainsi, si l’on suit le parcours de l’artiste sur le long terme, on constate une traversée de la violence et des passions (dès les premiers dessins en 1992, proches de Velickovic) entrecroisée avec un travail en profondeur sur le corps et sa fragmentation (surtout à partir des « Rouges » en 2004). Comme si à cette époque le corps ne pouvait être abordé simplement et intégralement.

 

Il faut en effet attendre 2011 pour que, dans « Les parcours », il tende à échapper à la fragmentation et à se distinguer de la substance. C’est là une première tentative d’un corps rayonnant, interprété par les couleurs fluorescentes. Mais il fallait encore passer par l’ensauvagement pour que se libèrent les forces susceptibles de le délier.

 

Ainsi, progressivement ce long parcours permet de passer de la violence à la danse. Ce que semblent indiquer les œuvres de 2019, c’est que ce parcours est celui de l’expérience chamanique. C’est le corps ramassé, enfin unifié, saisi juste avant son déploiement dans la danse, qui est évoqué dans la série « Remembrements ».

 

Cette série pourrait de ce fait renvoyer aux « Grandes calligraphies », mais en insistant ici sur l’aura englobant le corps remembré, signifié par l’enrobement d’un trait blanc exécuté à la craie grasse. C’est en effet, par l’huile, toute la substance du corps qui rayonne, à travers des teintes qui mènent du jaune au rouge en passant par les orangés, mais l’aura blanche le rassemble dans une nouvelle unité. Philippe LOUGUET

 

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Dominique Virgili-Walch

Après une vie professionnelle bien remplie qui l’a amenée à exercer plusieurs missions  à l’étranger, Dominique Virgili-Walch s’est tournée vers la peinture en 2004. Ce n’était pas un choix fortuit : son grand-père maternel, ancien séminariste, lui avait  fait découvrir assez tôt les grands peintres et sculpteurs. Et dans son proche entourage, un amateur d’art l’aida, dès ses débuts, à se révéler et à se perfectionner. C’est ainsi qu’elle gagna en confiance et développa une palette d’une grande vivacité chromatique.

Parmi les divers genres picturaux qu’elle a abordés, le portrait est certainement celui dans lequel elle s’est le plus investie. A travers lui, c’est le face à face avec la part la plus mystérieuse des êtres qu’elle cherche à découvrir et exprimer. Le déclic peut ainsi venir d’un visage croisé dans la rue ou d’une photographie. Mais c’est aussi le moyen pour elle de rendre un hommage à une personnalité admirée. Parmi celles-ci, il y a le jazzman Joey Zawinul (prématurément disparu). Nul besoin de regarder longtemps ce moyen-format pour être touché par l’expressivité qui se dégage de ce visage nerveux et tendu. Mais si l’on observe attentivement les bandes colorées de son bonnet, on mesurera le sens du détail dont Dominique Virgili-Walch est capable.

Cette finesse d’exécution se retrouve dans le portrait de la chanteuse Barbara, petit format aux tons bleu-sombre, ce qui donne l’impression d’un visage sortant de la nuit. Le trait rouge sous l’œil droit ajoute encore au caractère tourmenté de la chanteuse. C’est cette touche expressionniste qui est la marque la plus sûre du  style de Dominique Virgili-Walch, même si on peut trouver dans sa production des approches plus classiques : comme cette délicate Renarde qui, entre vert et roux, n’est pas sans évoquer La Dame à l’hermine de Léonard de Vinci.

Cependant, son sens de la couleur atteint son acmé dans la série consacrée aux femmes africaines. Rouges en majesté à peine rehaussés de bleu dans la mangeuse d’oursins ; contrastes multiples (rouge-vert, blanc-noir) dans Madame qui subsume le dessin du personnage central sous les masses chromatiques. Elle retombe un peu dans des scènes inspirées par le rêve et le fantastique, plus propices à des ambiances plus froides. Comme cet ibis blanc qui semble veiller sur le personnage endormi. Ou Lascive, avec son visage féminin alangui, les lèvres entrouvertes après la crue du plaisir.

La sculpture est aussi un art qui l’interpelle, même si elle s’en tient, pour le moment, à de petites compositions en argile. Outre les masques africains qu’elle revisite, les corps morcelés ou ailés qu’elle façonne sont traversés par un réel dynamisme.

Six expositions personnelles jalonnent le parcours pictural de Dominique Virgili-Walch depuis 2016. Ainsi prend forme, peu à peu, une œuvre forte et discrète à la fois ; une œuvre qui séduira sûrement ceux pour qui la peinture est une exaltation de la vie. Jacques Lucchesi

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Pascale Charrier-Royer

Chercher en puisant dans la couleur et la matière, en frottant, effaçant, et en recommençant. Et puis brusquement l’impression que « je le tiens », qu’il y a bien une « révélation » et que ça semble si simple finalement.

Le pouvoir évocateur des couleurs et des matières fournit le matériau de base à mon travail artistique. Tout est inspiration, la beauté comme la mélancolie. Lorsque je peins, je m’abandonne dans l’instant et le mouvement pictural. J’essaie de laisser place à la plus entière liberté d’expression, me laissant guider par les couleurs.

Je veux que mes tableaux soient une fraction de la Nature et de la Vie qui se brisent et naissent en moi.

Imaginons une chanson, dont le texte ne comporterait qu’un seul mot. Un mot changeant à l’infini, visible et secret, lucide et rêveur.

La réalité d’où je pars ne peut se nier, mais elle est perçue dans l’éclair qui l’affirme aussi comme une recherche de soi-même par l’art.

Le thème -le sujet- d’abord fortement présent, s’estompe et disparaît comme un refrain murmuré à l’horizon de la mémoire…

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Jean Luc Juhel

Jean-luc Juhel vit et travaille à Paris. Diplômé de l’école de la Grande Chaumière et de l’Ecole Supérieur des Arts Modernes à Paris. Il débute ses talents en tant que graphiste dans la publicité et crée ses premières œuvres influencées par le Pop’Art, le Rock Underground et la B.D.

Il participe à de nombreux salons de jeunes créateurs, tels que : Figuration Critique, Vitry, Montrouge, Grands et Jeunes d’Aujourd’hui etc.. En parallèle il travaille comme illustrateur de presse dans différents journaux (l’Ane,Le Monde de la musique, le Monde de l’Education, La revue littéraire Café,(ses dessins ont été présentés chez Pivot).le monde diplomatique, l’Expansion, Science et vie junior etc…Il rencontre Michel Gillet qui défend le mouvement de la « Figuration Libre » dans sa galerie. Il lui propose de faire partie de son équipe d’artistes : Di Rosa, Franckie Boy, Placid et Muzo, Mosner, La Gautrière, Jonone taggers new-yorkais etc…

D’autre part, il fait la connaissance de dessinateurs de presse dont Soulas à Libération et Trez à France-Soir à la galerie Martine Moisan ainsi que la comédienne et peintre Caroline Tresca. . Ses totems servent de décor lors d’une émission sur France 3. Il fonde avec son épouse une revue artistique « Collages » qui aborde les thèmes de l’art, la musique, la danse, la poésie, la psychanalyse.

Sa dernière exposition : « Figurations libres « dans la galerie le rire bleu (Figeac) en compagnie de   Combas, Di Rosa, Chamizo, Ben, Boisrond, Mosner, Guesnard, Taillandier,  etc…
Aujourd’hui Jean-luc Juhel est mentionné dans le dictionnaire de la peinture de G.Shurr, ADEC, Le Mayer, Akoun. (valeur sûre des artistes de la figuration libre.) Ses oeuvres se vendent régulièrement à l’hôtel Drouot. Il est entré dans de grandes collections privées.

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Ronnie Némorin

Les pieds et le corps dans l’art singulier, la tête dans une peinture peut être irréfléchie, colorée et spontanée, il nous dévoile naturellement un monde figuratif et joviale.

Sa peinture est instinctive et formative elle nous incite à regarder avec attention ce et ceux qui nous côtoient et nous observent.

C’est une pure leçon de chose, qui fait briller le regard des enfants et distrait celui des adultes. C’est un univers d’inadvertances et de fêtes.

Pas d’explications particulières dans les démonstrations de Ronnie Némorin, sa boîte de couleurs et ses craies font sortir ses toiles des fonds uniformes et transforment le support en un concert mi-figuratif mi-abstrait.

RN est un scientifique, un anthropologue qui nous fait toucher du doigt les sciences humaines et qui nous permet d’étudier avec enchantement le caractère anatomique, biologique voir physiologique des êtres humains et des groupes qu’il représente par ses toiles.

Nous découvrons par ses démonstrations picturales une fine analyse des ressorts anthropologiques et la découverte des caractéristiques d’une hominisation des personnages courants de la vie de tous les jours que sait si bien décrire notre ami Ronnie Némorin. D Bierjon

 

« Le seul véritable voyage, ce ne serait pas d’aller vers de nouveaux paysages, mais d’avoir d’autres yeux. »

Marcel Proust

Seule devant la toile, je suis à l’écoute de ce qui vient du plus profond de moi et me laisse embarquer dans cet espoir de surprise et de liberté que décrivait Mark Rotko « Un tableau doit être une révélation inattendue et sans précédent d’un besoin éternellement familier. »

C’est ce que j’aime.

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Oebr & Pad

Oebr & Pad naît en 1946… 

Longtemps retranché du monde, il entre en peinture en 2001 avec foi, passion, rage et détermination. Travaillant sur papier journal, l’artiste utilise la trame existante et en détourne le sujet pour écrire sa propre histoire. Textes et illustrations disparaissent sous les couches de peinture, laissant le champ libre à formes et signes depuis longtemps présents à son esprit.

Il fait, défait, refait… Répète, comme au moyen d’un alphabet inconnu qui donne les clefs d’une langue lorsqu’on en maîtrise les accords. Obsessionnel, il revient sur la même idée. Il efface, reconstruit, s’en remet au hasard. S’arrête. Le dessin se fait peau. Apparaissent des rides, griffures, escarres. On pense à Tapiès, à certains dessins de J. Beuys, Cy Twombly ou JM Basquiat, quand la peau sur les travaux récents a mué, leur fait le grain lisse…

Ou presque. 

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Photographies, Expressionismes, figuratif fantastique

Antoine Monmarché dit Monch

L’opacité prend l’espace, et l’espace est possédé. Dès lors, les premières lueurs de l’univers sombre tressaillent, traversées d’instants fatals. Eprouvant face-à-face. Dans l’étau étranglé de chaque œuvre, âpre et serrée, obscurément tamisée, vibrent ici et là les cordes désarticulées des drames vécus de notre monde. Monch installe et impose les élans saccagés des racines de la vie, comme s’il arrachait la peau des êtres. Ce que les ornières de la culture cachent obstinément, ce que les ordres du jour n’en peuvent plus d’affronter, la part d’ombre le révèle : les trouées de l’être, les regards sacrifiés de nos doubles, et leurs beautés mortelles. Flotte une odeur de gouffre, de souffre et d’étrange énergie sacrificielle. L’impensable stagne et couve sous les apparences cruelles d’un monde décapé. Il attend de pied ferme, fatal, terrifiant, à découvert, et toujours déjà maculé d’espoir et de désespoir.

Passeur de ténèbres, Monch crée au-delà de la vie. Magicien-envoûteur, il porte des coups au cœur des mortes surfaces. Il déchire les fatigues de l’ombre. Dessin, sculpture, photographie, peinture, tout est broyé pour naître à l’œuvre finale. Aux abords de l’abîme, il ose lâcher prise, et ça parle. Son art est insidieux comme un poison. Sorties de l’antre, ses formes acérées font disparaître nos repères sécuritaires. On navigue en territoire d’inquiétude. L’art n’est pas fait pour les regards assis…

Monch éprouve la puissance démoniaque des interdits vitaux qui prennent nos vies et nos vides. L’ordre du sacré vacille, et la terreur vitale saisit l’âme à la gorge. Il n’y a plus que la figure humaine qui résiste, en proie à toutes les métamorphoses vitales. Infinies sont les passerelles au pays des faces, des visages, et des gueules. Art d’exorcisme et de combat. Art de l’impossible tendresse. 

L’œuvre aérée d’inconscient incarne le fantasme aigu de l’existence saisie à la gorge, et mise à nu. Christian Noorbergen

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Pierre Sgamma

Artiste-sculpteur né en 1961, Pierre Sgamma ne nous laisse jamais indifférents, tant ses figurines en céramique ou ses installations animalières monumentales nous bousculent. Elles réveillent en nous nos angoisses, nos fragilités issues de l’enfance.

Pierre Sgamma joue, brouille les codes en mélangeant le sublime et le grotesque, le spirituel et le païen, la candeur et la perversité.

“Dans les moments de production et de création les plus intenses, je ne travaille pas, je joue. Chaque pièce est un morceau de moi, chargé de mon expérience d’amour, de violence, de peurs, de manques, de désirs ; je me moque de moi, de cette grande comédie qu’est la vie.”    

Tout part d’une muraille d’opacité. D’un miroir aveugle. D’un creuset de solitude, implacable et souverain. Et Monch crève les veines de sa nuit. Le dehors n’est pas son fort. Des labyrinthes verticaux, écrasants, enchevêtrés et chaotiques, font vivre un espace qu’on dirait fouillé et faillé, hanté à cru de brûlures vitales, de soubresauts souterrains, et de traits ouverts comme des blessures, et taillés au scalpel.

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Noêl Vérin

Noël Vérin est né en 1947, il vit et travaille à Paris ou l’ambiance de cette ville aux multiples couleurs l’enchante. Inspiré par le pop-art, le street art et l’art brut, peu à peu sa peinture évolue vers l’art primaire, comme il le définit lui-même.

Il connaît très jeune le milieu de la peinture et les plus grands noms grâce à Camille Renault restaurateur et grand collectionneur. De Kandinsky à Léger, ce parcours initiatique le construit… Longtemps il travaille avec des peintres belges dont Karl Fransaert  dont il est très proche.


Ses œuvres passent régulièrement en salles des ventes et figurent dans des collections publiques et privées tant en France qu’aux États Unis .

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grosse travailleuse meneuse d'équipe abstraction lyrique natures et couleurs

Anne Pourny

Après avoir travaillé en région Parisienne, peintre et graveur Anne vit et travaille aujourd’hui en Gascogne.

Dans le courant de l’abstraction lyrique, Anne Pourny développe une expression personnelle dont les sources principales ont été d’une part les œuvres de Turner et d’autre part un grand intérêt pour la philosophie et l’art asiatiques. Dans la lignée des peintres Hartung, Kline, Willem de Kooning et Motherwell, Anne Pourny a créé un espace extrêmement fort où l’émotion personnelle se libère.

Comme elle le soutiendra en 2017, grâce à l’abstraction : « le virtuel déborde le réel. L’artiste est en mesure de révéler une vérité cachée derrière une vérité d’évidence. Le langage de l’abstraction devrait pouvoir être l’un des langages universels dont a tant besoin cet univers mondialiste vers lequel les humains se dirigent ».

Les pulsions originelles qui mettent en route ce mouvement perpétuel de l’univers est ce qui m’intéresse le plus. C’est finalement le mystère de la vie qui se traduit dans les forces de la nature ; la vie ne cesse de jaillir et de se métamorphoser d’instant en instant.

« Parmi les éléments primordiaux c’est l’eau, et surtout la mer qui m’inspire le plus : sans cesse dynamique dans son flux et son reflux, dans ses formes, ses couleurs, ses transparences et ses profondeurs… elle dit le tout du cosmos, du grand calme à la tempête.
C’est en partant de mes sensations et des émotions ressenties dans le contact direct avec la nature, que plus tard dans la solitude de l’atelier, la toile devient l’arène où je me lance dans une sorte de concentration du souvenir, où je tente de ne dire que l’essentiel. »

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Expressionisme et abstraction lyrique

Aurélie Mantillet

Aurélie Mantillet est née et a grandi en France, au nord de Lyon. Elle a étudié à l’école des Beaux-Arts de Saint-Etienne.
Elle expose depuis 2007, et ses œuvres sont régulièrement montrées sur des foires en France (Art O’Clock Paris, Chic Dessin Paris, Art Nim, Lille Art Fair Art terrible…), à l’étranger (Montreux Art Gallery en Suisse, Miami International Art Fair aux Etats-Unis…) et sont passées régulièrement en salles de ventes à Paris (Drouot), Versailles (Perrin-Laroyère), Cannes et Roubaix. 

“Au travers de thèmes forts – l’accouchement, les anges, la chasse, l’abattoir – Aurélie Mantillet pose une peinture nerveuse, vive, affirmée et colorée. Ses tableaux sont le contraire de l’application minutieuse. Elle réalise toujours plusieurs travaux en même temps, en utilisant les pigments purs, formant la matière avant de revenir en jus liquides.  Les couleurs se recouvrent avant de réapparaître au séchage ou par grattage. Le concept et le sujet précèdent le tableau mais la réflexion se construit pendant la réalisation : elle pense sur la toile, établissant au fur et à mesure une mythologie personnelle. C’est sa manière de peindre, sans orgueil, sans prétention et avec sincérité.”  Virgile Durand.

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Marc Feld

Pour Marc Feld, la peinture n’est pas une technique (ou si peu), mais un surgissement – le lieu d’une présence tremblée, le lieu sans lieu, de la rencontre avec les grands morts. Un surgissement vertigineux, inépuisable.

La peinture est un surgissement inexplicable, sauf par elle-même. « Le peintre est un aveugle qui voit », disait Bram van Velde. Ici, tout le corps voit – précisément ce que les autres ne voient pas. Les êtres et les choses en leur centre d’inquiétude.

Qu’il célèbre la pulsation d’Elvin Jones par des « consumations », ou refasse et défasse, dans une recherche continue d’intensité, le « bœuf écorché » de Rembrandt et de Soutine, Marc Feld se re-connaît dans la peinture. Il se re-connaît dans ce qu’il n’a pas voulu. Ou voulu tant et si fort qu’il n’en savait rien. Jusqu’à s’abandonner.

S’il ne peint pas, il n’est pas lui-même. Tout simplement – et splendidement. La peinture ? Une naissance sans fin de l’impossible. « Le reste ? Je n’ai pas de talent pour ça », répondait Van Gogh. Zéno Bianu

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Magicien expressionniste farouche rebelle et hors normes

Francky Criquet

Francky Criquet, est un magicien farouche et hors norme  de l’art contemporain né  en 1968 à La Flèche, c’est un peintre qui s’intéresse à d’autres domaines artistiques comme la poésie, l’écriture ou à la sculpture.

Une enfance aux pinceaux

Dès son plus enfance, il est remarqué pour son talent puisque dès l’âge de 10 ans, son école primaire l’invite à créer une fresque sur les murs de l’établissement. Deux ans plus tard, en 1980, c’est le collègue dans lequel il étudie qui lui permet de réaliser sa seconde peinture murale. C’est d’ailleurs cette même année qu’il gagne le “premier prix du concours de la Jeune Peinture, organisée par la ville du Mans, une des grandes villes du Grand Ouest français.

 

Restauration d’œuvres & antiquité

Durant son adolescence, il continue de perfectionner sa technique en restaurant des gravures et peintures. Il se décide à vendre lui-même des œuvres à l’âge de 18 ans sur des salons ou marchés d’antiquités. À ce moment-là, il prend même des commandes de la part d’antiquaires qui reconnaissent la qualité de son travail. Certains de ses travaux finissent d’ailleurs dans des musées comme le Musée d’arts de Nantes ou dans des salons de collectionneurs.

 

L’art sous toutes ses formes

À la vingtaine, la peinture n’est plus son seul intérêt : il se met à la céramique, la sculpture, il commence à donner ses premiers cours et développe un gros intérêt pour le théâtre, l’écriture de nouvelles et de poèmes. L’art de Francky Criquet s’expose alors à Nantes dans divers ateliers avant de partir vivre à l’étranger.

 

1995, l’année du pèlerinage artistique

Alors sur la côte sud de l’Espagne, l’artiste rencontre le peintre espagnol Julio Fernandez Ceballos  Montalban et devient son élève. Il passe un an à ses côtés avant de s’envoyer pour le Royaume-Uni. Là-bas, il peint énormément de tableaux : plus de 300 cents.

 

Retour en France pour briller ailleurs

De retour sur ses terres natales, Francky Criquet va continuer à peindre de manière frénétique et va commencer à exposer à Marseille, Lyon et Paris. L’année 2003 va signer la vraie ouverture à l’internationale avec des expositions aux Pays-Bas, au Brésil, en Italie, et même aux États-Unis, à New York & Miami.

Quelques années plus tard, un nouveau pays s’ouvre à son art : la Chine. Via sa galerie Sangshan Art, il organise des expositions à Shanghai, à Pékin et à Hangzhou en plus de ses lieux désormais habituels.

 

Francky Criquet selon Angel Arts

L’art de Francky Criquet est d’une grande force. Parfois violent, mais souvent tendre, expressionniste, il inspire à ses amateurs des réactions émotionnelles à nulles autres pareilles. Les œuvres, tragiques ou sentimentales, sont riches de symboles explorés par un imaginaire hors du commun.

Les thèmes mythologiques, l’omniprésence des animaux servent de fils conducteurs aux messages de l’artiste, qui a développé une vision et une technique picturale très particulières. Sa manière expressionniste, voire néo-expressionniste le rattache à une peinture figurative, au style violemment émotif, et à l’iconographie provocatrice.

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attachant et imaginatif

Jean luc curabet

Parfois apparaissent d’étranges êtres accompagnés de curieux objets, à la Lewis Caroll. Fascinants, capables de vous plonger dans la plus profonde angoisse, c’est le petit peuple des rêves. Rêve ou réalité ? Tellement ressenti en tout cas, que vous en devenez l’acteur principal, le personnage de votre hibernation quotidienne. Tout semble vrai… Tout Est Vrai ! L’amour si parfait, les gouttes de votre transpiration, un cri, des larmes, des lutins érudits…

Et puis il y a cette course effrénée qui vous coupe le souffle et vous amène d’un endroit au même endroit. Une impression de tomber dans le vide, un trou sans fin, une fin qui n’arrive jamais. Il devient dès lors improbable de déterminer une temporalité et cette succession d’anachronismes permet une interprétation nouvelle de l’image d’origine. Le passé s’évanouit au bénéfice d’un présent, préfigurant un avenir plus qu’incertain. 

Le road movie d’une vie banale, les souvenirs qui servent de trame et tissent le chemin tortueux d’une piètre existence qui ressemble tant à une autre. The dark side of your life… et vous finissez happé par le siphon de votre baignoire !

Au suivant !

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Jade Saint Paul artiste Abstrait et nuagisme décoration et couleurs douces

Jade Saint Paul

Artiste peintre autodidacte, Jade Saint-Paul a évolué dès son plus jeune âge dans le monde artistique, à travers la danse classique, la musique, la peinture et le dessin.

La peinture est venue à elle comme une force vitale.

« Je ne décide pas des images qui viennent mais les laisse arriver d’elles mêmes ». C’est ainsi que Jade, en utilisant une technique acrylique et parfois mixte, nous emmène dans des paysages imaginaires et mystérieux aux couleurs douces, mais chargées de nuances et d’émotions. Nous observons dans ses oeuvres une absence volontaire de messages clairs. La priorité est aux sentiments et sensations de l’observateur.

L’état émotionnel de la solitude paisible de l’artiste au moment où l’œuvre est créée se ressent et s’observe dans cette vision globale où l’Homme (l’observateur de la toile) est lié à l’ensemble des éléments d’un point de vue métaphysique. Une douceur, une harmonie, une atmosphère neutre, comme si le spectateur se retrouvait seul, face à l’immensité, face au monde, à la vie et ses pensées, face à sa propre existence.

C’est à travers ce silence, et ce calme imposé, que Jade saisi l’atmosphère d’un lieu, d’un ciel, qui laissent libre court à l’interprétation du spectateur, où chacun perçoit le tableau dans sa propre expérience personnelle.

Violaine Boisivon sculpteur et plasticien contemporain, autour de la terre cuite

Violaine Boisivon

« …Mes projets jaillissent de mes mains, au contact de la terre. Je laisse mes mains agir, modeler la Matière, s’imprégner de son contact et de ses sensations.
Des préformes peuvent apparaître. Je regarde, les interroge, souvent je suis surprise par ce qui a émergé de la terre.
Alors je commence à me raconter des histoires, à ressentir des émotions et je précise la pièce, la modèle.
Je définis mes intentions et les formes de la sculpture.
Je laisse la terre sécher quelques jours et je la remodèle, travaille encore pour en préciser les lignes. Je la reprends jusqu’à ce que je sois satisfaite.
L’aventure de la patine suit également une démarche intuitive. Parfois je mélange émaux et pigments, parfois seulement des pigments. J’appose par touches successives et la patine se construit peu à peu, remodelant la sculpture et son existence, parfois transmutant la Sculpture en lui donnant une autre personnalité. Abouties, mes sculptures me renvoient une image de moi-même, un miroir dont je ne suis pas toujours consciente. Elles m’aident à dialoguer intérieurement…»

Jean-Marie Rodrigues Peintre-sculpteur plasticien, contemporain coloré et baroque.

Jean-Marie Rodrigues

ECCE HOMO, “Être” sans parure, archaïque, premier, brut, singulier … Créatures «bizarres », «mal-bâties », « hors-code ». 

Parfois, on ne les comprend pas !!! Certaines parlent une langue étrange, étrangère… : « Quem? Que? Onde? » Dans l’ombre, on ne les perçoit même plus, cependant elles peuvent exploser ! 

Des observateurs les trouvent parfois « baroques », d’autres « rococo » ! Qu’importe, l’objet n’est pas là ! C’est trouver et mettre au jour des résurgences délicates, lumineuses : une idée… un propos, un regard !

sculptrice, plasticienne Emmanuelle Tartas dans son atelier, argile autodurcissant

Emmanuelle Tartas

Emmanuelle Tartas est née au Sénégal en 1967 et y a passé sa petite enfance.

Elle réalise un travail de sculpture en lien avec la partie africaine de son histoire, en utilisant la mémoire sensorielle du corps, explorant des thèmes comme l’exil/la séparation, les racines/ l’identité… et nous interroge plus largement sur la colonisation, le racisme, l’intolérance…

Le travail d’Emmanuelle Tartas nous transporte en Afrique, dans le Sénégal postcolonial de la fin des années 60. L’utilisation du fil  rouge et de couleurs de terre (latérite), un univers personnel de motifs métaphoriques, de masques, de personnages fantastiques et autres figures expressionnistes, nous transportent dans un rêve où cohabitent nostalgie de l’enfance et questionnement sur l’exil,  l’identité et l’impact colonial.
L’expression forte d’une histoire personnelle renvoie au travail de Louise Bourgeois tandis que l’utilisation détournée des matières textiles nous entraîne dans le sillage d’Annette Messager. Enfin, c’est au mouvement Figuration Critique que se rattache naturellement son travail car, comme l’écrivent les fondateurs du Salon en 1978 : “C’est que nous poursuivons le rêve d’un art puissamment figuratif et qui nous engagerait dans une lutte progressivement émancipatrice… “

Les techniques classiques confrontées à une utilisation brute des matières comme la terre, le plâtre, la filasse se posent en symbole de ce qui serait une double identité, occidentale et africaine. Les pigments purs, symbolisant la terre et la latérite, mêlés à l’huile de lin et appliqués au doigt ou à la brosse dure, s’entrechoquent avec l’argile pour créer des matières vivantes.

Devant l’œuvre, le spectateur fait l’expérience transformatrice et réparatrice de la connexion à la mémoire sensorielle du corps.

Membre de l’association des Ami(e)s du Sahel qui met en avant les actions culturelles et artistiques de la diaspora africaine à Bordeaux, elle est également adhérente à la Maison des Artistes.

Carla Coll, peintre espagnole et dessinatrice

Carla coll

Carla Coll est une artiste espagnole

delphine collot, peintre

Delphine Collot

DC est une artiste française

Isabelle Garderet, peintre crayon aquarelles, encres

Isabelle Garderet

Je suis peintre depuis trente ans, et si je peux dire quelque chose sur moi, je dirais que je suis avant tout dessinatrice et puis peintre. Le dessin est une activité essentielle et permanente de ma vie, on peut dire c’est intellectuel, c’est cérébral.

J’ai été très influencée par la peinture de Joan Mitchell, Adrian Berg, J’ai une approche littéraire de la peinture et de la sculpture et Je suis sensible aux mélodies de Stevie NIcks du groupe Fleetwood Mac.

L’humain, le végétal et l’animal sont au cœur de mon œuvre. Ils s’interpénètrent en de magnifiques métamorphoses et participent à l’enchantement du monde. Le jardin est un paradis terrestre où tout se créé, se renouvelle et se perpétue.

La couleur est très importante dans ma peinture. Le dessin se déploie sur la surface dans un ravissement coloré. Il y a toujours quelque chose de nouveau dans le dessin qui peut apparaître comme une révélation, une solution ou au contraire une énigme. Ce qui m’importe dans le travail pictural, ce sont les transformations et les mouvements qui s’opèrent dans le processus du dessin et de la couleur.

La Nature est un élément très important de ma peinture, elle vient comme pour vivifier les personnages de l’intérieur, je crois que mes tableaux présentent les jardins perdus de mon enfance que je cherche à retrouver en peignant. C’est comme si la mémoire était à l’œuvre en permanence dans le processus pictural. Je peins en quelque sorte les choses et les gens dont je me souviens, ou les choses que je vois et que je vis et qui entrent en résonance avec ce que j’ai vécu, c’est un va et vient permanent entre le présent, le passé et le futur.

Muriel Massin peintre

Muriel Massin

Les œuvres de Muriel Massin, dans un foisonnement de geste et mouvement, de couleur et de matière, semblent raconter et répéter inlassablement les petites histoires du monde naissant qui s’engendre lui-même dans un chaos primordial en un bouillonnement créatif.

Elle présente dans ses toiles et ses dessins des microcosmes installés, dans des arrêts sur image, des pauses salutaires au milieu du chaos tempétueux. Figés dans la toile terminée, ils continuent pourtant de pulser et de battre en son cœur.

Dans la peinture de Muriel Massin, le geste s’impose d’abord, pour un foisonnement dans les couleurs, les lumières et les matières. Sa famille est celle de l’abstraction gestuelle, qu’on dit lyrique, avec des accents puissants expressionnistes.

Pour elle, le geste est un acte de faire. Il déploie son amplitude dans le mouvement créateur, il impose sa force dans l’impulsion de l’instant.

L’artiste dit que le tableau est “un passage à l’acte”, sa peinture du geste est une pulsation rapide qui nous traverse, palpite et s’agite, en dehors d’elle-même et en dedans de nous, c’est un déploiement tonique de la vie, c’est une célébration du monde.

Le résultat procure une belle ivresse, longue en notre regard  comme un vin serait long en bouche. Une force complexe et explosive faite de nuances multiples Non pas une urgence fiévreuse , mais une densité sauvage de mille voix habitée.

Il faut à l’artiste une part de folie conquérante, d’un au-delà du geste, d’un au-delà du monde.

Marc Gauthier

Joanna Ingarden peintre suisso-polano-française

Joanna Ingarden

Joanna Ingarden est une artiste polonaise née à Cracovie en 1961. Elle est issue d’une famille de peintres, d’architectes et de philosophes célèbres. Elle a quitté la Pologne à 20 ans et a vécu à Paris, New York et en Suisse. Aujourd’hui, elle réside près de Lausanne, au bord du lac Léman12.

Son œuvre se caractérise par un style abstrait et poétique, où la nature joue un rôle majeur. Elle crée des paysages en apesanteur, où se mêlent le ciel, la terre et l’eau, ainsi que des personnages évanescents qui laissent leurs empreintes délicates. Elle utilise une technique de jus de pigments mélangés à du liant acrylique, qu’elle superpose à des traits et des griffures qui lui sont propres. Elle allie ainsi la matière à l’esprit, dans une harmonie de couleurs et de formes123.

Elle expose ses œuvres en Europe depuis 2006, notamment à la Galerie Florence B. à Noirmoutier et à la Galerie Univers à Lausanne. Elle a également participé à des projets artistiques avec le cabinet  de conseil Strategos.

Joanna Ingarden est une artiste qui exprime sa vision du monde avec sensibilité et conviction, en laissant au spectateur la liberté de l’interpréter et de la recréer. C’est une œuvre qui vit, palpite et se transforme, comme le dit l’écrivaine et journaliste Fabienne Bogadi.

Ruta Jusionyte peintre, sculptrice, dessinatrice

Ruta Jusionyte

Rūta Jusionytė. L’Alchimie de l’amour

Rūta Jusionytė, une peintre, dessinatrice et sculptrice qui vit et travaille à Paris depuis 2001.Elle est née à Klaipėda, en Lituanie, et a obtenu son diplôme à l’Académie des arts de Vilnius. Elle expose dans des galeries  françaises, Suisses et Danoises ainsi qu’en Belgique, en Allemage et en Lituanie. Le projet LOVE ALCHEMY dégage une charge émotionnelle importante où les défis accumulés de sa vie et de sa créativité se sont exprimés à travers des médiums comme le dessin, la peinture, la sculpture et l’aquarelle…

Son style a été influencé par des acteurs clés, appartenant notamment au groupe des expressionnistes français pendant une décennie. Son travail a été influencé par les courants du nouvel expressionisme et du réalisme magique. Ces influences de la culture européenne ont façonné son style très personnel.

La deuxième partie du titre du projet/exposition, “L’ALCHIMIE DE L’AMOUR”, fait référence à la tradition alchimique, devenue un fil conducteur dans la pratique artistique de Rūta ces dernières années. Elle considère l’alchimie comme une tradition philosophique visant une vie consciente et la recherche de l’immortalité humaine. La quête de l’harmonie entre la conscience et le corps est au cœur de cette tradition.

Les œuvres récentes de Rūta témoignent de changements significatifs, marqués par des périodes de mélancolie et de désespoir, ainsi que par des périodes d’optimisme et d’illumination au cours des dernières années. Le projet LOVE ALCHEMY envoie un message puissant sur les liens et les signes des relations humaines.

La métaphore alchimique dans le travail de Rūta évoque un changement de niveau de conscience, visant à percevoir l’ensemble à travers ses parties simultanément. Ses œuvres symbolisent l’optimisme et la quête de l’illumination de la conscience.

Les personnages dans les œuvres de Rūta ne sont pas simplement des héros de contes de fées animés, mais une tentative de transmettre l’émotion de la positivité et l’intention d’harmonie. La nouvelle approche artistique de Rūta se manifeste par des figures flottant diagonalement, émergeant du subconscient, créant un monde ouvert et harmonieux dans des couleurs transparentes.

L’approche de Rūta diffère de la représentation directe du mal et du pessimisme, optant plutôt pour une philosophie de catharsis et d’équilibre intérieur. Les symboles des animaux  dans ses œuvres trouvent leurs origines dans des idées philosophiques, la folklore, les légendes médiévales et les travaux historiques sur les symboles des couleurs et des bêtes dans la culture européenne médiévale.

En conclusion, les récents travaux de Rūta Jusionytė reflètent sa création d’un nouveau monde, invitant les spectateurs à interpréter les images de manière personnelle.  Alchimie d’amour symbolise un voyage de l’obscurité vers la lumière, soulignant l’importance de la connexion entre deux personnes.

Critique d’art

Jolita Mieželaitienė

L.Greo

                                  « JE N’AI PLUS LE TEMPS D’ÊTRE RAISONNABLE »
dit Laurent Gréaume, L.Gréo de son nom d’artiste, né un 6 août 1960 àSaint-Adresse près du Havre.

Il voue depuis toujours un amour profond à la peinture . L.Gréo suit pendant quelques mois des cours aux Beaux-Arts de Caen,mais le travail« académique » l’étouffe rapidement.

Il se sent coincé, étriqué, censuré par l’enseignement proposé. Sa Campagne son imaginaire
a besoin d’espace et de démesure.
Anticonformiste, le jeune artiste abandonne alors les cours, choisi un aller simple pour la
peinture, sans détour ni retour et part seul démarrer son chemin pictural.
À partir de ce jour, son art l’accompagne partout. Il peint quotidiennement, de l’abstrait, du
figuratif, de l’expressionnisme, sur toutes sortes de supports, toiles, panneaux de bois,
tissus. Dans ses peintures, on sent l’inspiration des grands maîtres qui le fascinent.
L.Gréo a un besoin viscéral de peindre pour extérioriser ses sentiments, ses humeurs.
Il reconnaît être animé d’une colère bienfaisante qui le pousse à chercher sans arrêt la
suite fuite ? La peinture m’a sauvé, confie t-il. Pudique dans l’âme, discret, peu bavard, il
préfère ses pinceaux aux longs discours.
Ses toiles sont denses et très colorées, il s’amuse souvent à y glisser moult détails et une
lecture attentive est souvent nécessaire pour décoder et apprécier ses messages cachés.
Il aime les grands, les très grands formats. La plupart de ses personnages ont des formes
anatomiques des plus étranges qui interrogent sur sa vision de l’humanité.
L.Gréo est depuis toujours un « obsédé textuel ». Alors peu à peu, des mots, des « phrases
formules » apparaissent dans sa peinture pour véhiculer des messages spontanés, enfantins
et à la fois effroyablement sérieux.

Florence Lepage

Florence Lepage est une artiste française

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